Premier partenaire du développement en RDC, le FPI a atteint ses objectifs pour 2019

En tête de tous les sondages sur les meilleures entreprises congolaises en 2019 grâce à ses nombreuses réalisa­tions d’envergure, le Fonds de Pro­motion de l’Industrie (FPI) s’engage à accomplir bien de grandes choses au cours de l’année 2020. Patrice KITE­BI, Directeur Général et premier ar­tisan de cette montée en puissance du FPI a procédé au rappel de ses troupes en ce début d’année afin de relever pour du moins important et détermi­nant à la fois, à savoir, exceller dans la lutte contre la pauvreté et la création de « millionnaires » congolais. Une noble mission qui rencontre la volon­té du Président de la République Dé­mocratique du Congo, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO déter­miné à lutter contre la pauvreté.

2020, fini la pauvreté, bonjour les millionnaires !

À l’occasion de la nouvelle année 2020, les dirigeants du FPI, dont le DG Patrice KITEBI et le PCA Isi­dore KABWE MWEHU ont promis au Président de la République, Fé­lix Antoine TSHISEKEDI, d’aider à la reconstruction du pays, de lutter contre la pauvreté et de créer de mil­lionnaires Congolais, ce en mettant en oeuvre sa politique dans le secteur de l’Industrie. Dans le message qu’ils ont ensemble signé, on peut lire : « En cette année 2020 commençant, le FPI tient à assurer la Nation qu’il se situe­ra à l’avant-garde des institutions de l’Etat qui mèneront des actions d’en­vergure, capables de mener le pays, sous votre leadership éclairé, vers un développement intégral, équilibré et tourné vers la satisfaction des besoins des plus démunis de nos populations ». Le FPI, a pour mission principale de promouvoir l’essor de l’industrie congolaise en soutenant notamment les industries existantes et en faisant la promotion des nouvelles industries, sans oublier la promotion des petites et moyennes entreprises. Lors de sa visite en novembre 2019, le ministre de l’Industrie, Julien PALUKU avait justement émis le voeu de matérialiser l’ambition de Félix TSHISEKEDI dans ce domaine, celle de créer 100 million­naires par le biais du FPI. Pour PA­LUKU KAHONGYA, la vision du chef de l’Etat est de réduire la pauvreté, et son ministère, à travers le FPI, de créer des richesses.

Hausse des recettes et contribution au budget national

Depuis quelques années, le FPI abat un grand travail sur le terrain, ce qui justifie l’augmentation de ses recettes mensuelles. Depuis trois ans, elles sont passées de 4 milliards de francs (environ 2,5 millions de dollars) à 16 milliards de francs (l’équivalent de 10 millions de dollars). Fort de ces per­formances, la loi des finances 2020 lui assigne d’atteindre 230 millions de dollars. Julien PALUKU estime qu’il est possible à ses agents et cadres de les atteindre, en mobilisant mensuelle­ment au moins 37 milliards de francs, afin de contribuer au budget national. Il croit qu’avec un peu de détermina­tion, ils peuvent même les dépasser. Comme stratégie pour sortir au moins 20 millions de Congolais de la pauvre­té et créer de jeunes millionnaires, se­lon la vision du président TSHISEKE­DI, Julien PALUKU annonce que le FPI va désormais accorder le crédit à seulement 8% du taux d’intérêt pour tout projet innovant de développe­ment et à 4% pour les projets portés par les femmes et les jeunes.

Des réalisations et des objectifs at­teints en 2019

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Le 2 mars 2019, Patrice KITEBI avait annoncé, lors de la présentation du programme d’urgence des 100 pre­miers jours du Président de la Répu­blique, 13 projets devant être financés par sa société pour un montant de 70 millions de dollars à travers le pays. Ce sont des projets jugés urgents, exécutés dans la cadre du programme d’urgence du chef de l’Etat, depuis mars 2019, qui concernent 8 provinces, à savoir : Kinshasa, Tshopo, Kasaï-Oriental, Kasaï Central, Tanganyika, Sud-Kivu, Nord-Kivu et Haut-Katanga.

Cet Etablissement public a atteint ses objectifs parce que les ressources lo­cales sont revalorisées et permettent de satisfaire les besoins locaux grâce au tissu industriel qu’il appuie. Il ré­duit ainsi la dépendance de l’économie vis-à-vis de l’extérieur. Aussi, le fonds qu’il disponibilise contribue à l’assai­nissement du cadre socioéconomique des entreprises par le financement des projets…

– À Kinshasa : le FPI a subven­tionné à hauteur de 755.000 dollars, le projet d’exécution de la deuxième phase des travaux d’adduction d’eau potable sur le site du campus univer­sitaire, notamment au Plateau des pro­fesseurs, à la Clinique universitaire, aux homes des étudiants et auditoires, sans oublier le Centre Neuro-Psycho Pathologique (CNPP). En tout, 10 forages avec réseaux de distribution ont été construits par la société So­lutions For Africa. Toujours dans la capitale congolaise, le FPI a subven­tionné la modernisation, rénovation et construction de nouveaux bâti­ments de l’Institut Mokengeli, école de la Communauté Presbytérienne de Kinshasa, avec une enveloppe de 1,8 millions dollars. Avec ce fonds, 33 salles de classes ont été réhabilitées, un nouveau bâtiment devant abriter l’ate­lier de couture construit, et l’aménage­ment d’une bibliothèque et d’une salle informatique.

– Au Kasaï central : Précisé­ment à Kananga, l’Etablissement a ap­puyé le Projet d’adduction d’eau en mi­lieu périurbain, avec la construction de cinq forages par le Service National hydraulique Rural, pour un montant estimé à 843.045 de dollars.

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– Dans la province de la Tsho­po : le FPI a financé la construction des ponts Lubuya et Lubunga et les travaux étaient exécutés par l’Office des Routes, respectivement pour 200 mille et 700 mille dollars. Les deux ouvrages, inaugurés par le président Tshisekedi, facilitent le trafic entre les territoires de la Tshopo et d’autres pro­vinces : Nord-Kivu, Sud-Kivu, Manie­ma, Kasaï central…

– Au Nord-Kivu, grâce au fi­nancement qu’il a accordé à l’Associa­tion Coopérative des Groupements d’Eleveurs du Nord-Kivu (ACOGE­NOKI), d’une valeur de 695.266 de dollars, l’association a acquis et im­planté une unité modulaire de trans­formation de lait. Aussi, le Comité d’Autopromotion à la Base (CAB), structure basée à Mulume Munene, au Sud-Kivu, a bénéficié d’une somme de 280.454 dollars, pour appuyer l’éle­vage bovin…. Sur cette liste des sub­ventions figure aussi la réhabilitation du port de Kalemie, dans la province du Tanganyika, pour lequel le FPI a si­gné un protocole d’accord avec China Gezhouba Group, pour la mobilisa­tion des fonds.

Victime de la malveillance

Le Fonds pour la promotion de l’Indus­trie fait notamment face à la malveil­lance de certaines personnes qui font usage de faux. Tel est le cas dénoncé par SAKOMBI MOLENDO, Ministre des Affaires foncières, d’un faux certi­ficat d’enregistrement grâce auquel un quidam, non habilité, a pu conclure le contrat de prêt avec le FPI qui aurait décaissé une faramineuse somme de 1 million de dollars. Il y a aussi des interférences politiques fustigées par le ministre Julien PALUKU, dans le fonctionnement de l’Etablissement. « Tout ce qui est d’interférence politique de nature à dévier les interventions du FPI de son mandat est proscrite », sou­ligne-t-il en mettant en garde contre la pratique des commissions.

FPI, modèle de bonne gestion et de réussite

Le succès de toute entreprise suppose un personnel qualifié et compétent. Ancien Ministre délégué auprès du Premier Ministre chargé des Finances sous gouvernement Matata 1, le Di­recteur Général Patrice KITEBI est de cette catégorie des personnes qui sont à la hauteur de leurs tâches. Depuis la prise de ses fonctions le 24 novembre 2016 avec l’héritage d’une entreprise à l’état alarmant, la rigueur et le sens ma­nagérial élevé de KITEBI contribuent au redressement effarant du FPI. Les recettes du Fonds de promotion de l’industrie ne cessent de croître de même que le montant de sa participa­tion au Budget du gouvernement cen­tral, ce, dans la vision de contribuer à l’émergence de l’économie congolaise à l’horizon 2030 grâce à un tissu indus­triel diversifié, intégré et compétitif.

Mobiliser plus pour financer plus

En vue de maximiser davantage les recettes et remplir efficacement la mission principale assignée au FPI notamment le financement du déve­loppement industriel, sous l’impulsion de Patrice KITEBI résolument engagé à faire de son entreprise une référence dans l’accroissement des recettes, un protocole d’accord de collaboration avec l’Office de gestion de fret multi­modal (OGEFREM) a été signé le 15 mai 2019. Cet accord vise à mettre en place un dispositif de surveillance mu­tuelle sur la gestion de flux des recettes des marchandises importées en RDC

Hubert MWIPATAYI