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Avec 366 milliards de FC mobilisés en juin, JEAN LUCIEN BONYEME REMET LA DGRAD SUR ORBITE

Nommé en mai 2023, le nouveau directeur général de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations (DGRAD), Jean Lucien Bonyeme Ekofo, donne déjà de ses nouvelles. Lui et son comité ont mobilisé près de 366 milliards de francs congolais en juin dernier. Ce qui relance la performance de cette régie financière dans la mobilisation accrue des recettes non fiscales.

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Le président de la République, Félix Tshisekedi, a procédé au réaménagement du comité de direction de la DGRAD. Par l’ordonnance présidentielle n°23/065 du 22 mai 2023, Jean Lucien Bonyeme Ekofo a été nommé directeur général de cette régie financière. Par la même ordonnance, le chef de l’Etat a renouvelé sa confiance aux deux directeurs généraux adjoints de cette régie à savoir, Monsieur Doudou Fwamba Likunde-Li-Botay et Madame Christine Epoluke Bombula en tant que directeurs généraux adjoints chargés respectivement des questions techniques pour l’un et de l’administration et des finances pour l’autre.

 Après trois mois de gestion, Jean Lucien Bonyeme, ancien patron de la Société nationale d’assurances (SONAS), donne déjà des signaux positifs. Au premier trimestre 2023, avant sa venue, la DGRAD n’avait réalisé que 17% de ses assignations budgétaires. Une contre-performance qui ne dit pas son nom, alors que la régie financière contribue, depuis plus de dix ans, à concurrence de 30% du budget de l’État. Il y avait risque que cette situation affecte les assignations budgétaires annuelles de l’entreprise, si rien n’était fait. C’est ainsi que lors de la cérémonie de remise et reprise  avec le comité sortant, Jean Lucien Bonyeme Ekofo avait pris l’engagement de relever l’important défi de concrétiser les réformes entamées par le comité de gestion sortant dirigé par Jean Parfait Ntabala Mundikhire.

 Sur ce point, le nouveau dg compte s’assurer que la numérisation et la tenue à jour des différentes comptabilités permettent au gouvernement de la République, aux différents services d’assiette et à la DGRAD de disposer d’un tableau de bord renseignant sur le niveau des recettes en attente d’être liquidées, celui des recettes en instance d’être ordonnancées, ainsi que celui des recettes effectivement recouvrées par les banques et le solde à recouvrer.

Bonyeme Ekofo, un passé dans les finances publiques 

Né le 19 août 1962 à Kinshasa, en République démocratique du Congo, Jean Lucien Bonyeme Ekofo étale un parcours élogieux dans la gestion des affaires publiques. Détenteur d’un Master en sciences politiques et administratives de l’Université de Kinshasa (UNIKIN), le nouveau directeur général de la DGRAD détient aussi une grande expérience professionnelle.

 Cela fait suite à plusieurs formations notamment en gestion d’audit opérationnel sur les assurances et en audit juridique au centre CAPER de Casablanca (au Maroc) et de Paris (en France) ainsi qu’en gestion des entreprises en période de changement, toujours à Paris. Méticuleux dans la gestion des ressources humaines, financières et matérielles, le DG Bonyeme a accumulé une expérience de plus de 30 ans passés essentiellement dans le secteur des assurances au sein de la SONAS. Ses qualités intellectuelles et morales lui ont permis de gravir les échelons allant de chef de section, en 1987, au poste de Directeur général de la SONAS, en 2019. Tout au long de son mandat à la tête de la SONAS SA, il a fait preuve d’un modèle de gestion inédit, apprécié aussi bien par les cadres et agents, que par le gouvernement de la République.

La DGRAD se remet sur pied… 

Sous le signe d’un fulgurant départ à l’actif du nouveau mandataire, témoignage on ne peut plus éloquent de son adresse managériale, la DGRAD vient d’accroître ses recettes en récoltant 366 milliards de francs congolais de ses assignations pour le seul mois de juin 2023. Cette montée en puissance, fruit du leadership du patron de cette régie en synergie avec ses deux adjoints, la propulse pour la première fois devant la Direction générale des impôts (DGI). 

Une performance qui restera marquée dans les annales. Plusieurs éléments ont concouru au succès récolté dans la mobilisation des recettes non fiscales en juin 2023. Entre autres, la rigueur au travail, la poursuite du processus de digitalisation et numérisation de la chaine de recettes au travers les logiciels LOGIRAD et ISIS REGIE. La même tendance a continué d’être observée en juillet et août 2023 grâce à la mise en place d’une judicieuse organisation des opérations de paiement des frais de dépôt des dossiers des candidatures à la députation nationale et provinciale, à la célérité dans le traitement des dossiers et à la bonne gestion des ressources humaines.

Des motos pour la mobilité des agents

Il serait hasardeux de vouloir demander un bilan au directeur général après seulement deux mois de gestion. Cela équivaut au temps d’observation et de prise de marque pour non seulement connaître les institutions, mais aussi les hommes. Néanmoins, ce moment d’analyse n’est nullement un temps mort pendant lequel le Directeur général n’agirait pas. Au contraire, il l’a mis à profit pour jeter les bases de l’édifice et apporter du tonus à la mobilisation des ressources au profit du Trésor public.

En gestionnaire aguerri, Jean Lucien Bonyeme Ekofo est conscient de la mission lui assignée par le gouvernement, grâce à « une gestion axée sur les résultats (G.A.RE.) ». Il a également su prendre la mesure que pour arriver à cette fin, il doit valoriser le capital humain en améliorant les conditions de travail des cadres et agents de la DGRAD. Pour cette raison, il vient de doter la régie de 200 motos acquises sur fonds propres en suivant scrupuleusement la procédure de passation des marchés publics. L’objectif principal poursuivi par le directeur général est de rendre aisée la mobilité des ordonnateurs affectés dans les ressorts et centres d’ordonnancement éloignés et inaccessibles en véhicule. Il a matérialisé cela par la décision n°083/DGRAD/ DG/2023 du 24 juillet 2023 portant affectation et attribution des motos aux directions provinciales de la DGRAD et a émis le vœu de voir les bénéficiaires en faire bon usage afin de collaborer efficacement à la mobilisation des recettes non fiscales au profit du Trésor public.

Acquisition de 700 ordinateurs

Cette mobilisation accrue des recettes non fiscales, qui est le crédo du Directeur général de la DGRAD, implique une mise en place d’un arsenal de prérequis adéquats devant garantir aux cadres et agents d’effectuer un excellent travail. En manager avisé, soucieux du bon fonctionnement de ses services, le directeur général de la DGRAD, vient également d’équiper la régie, toujours sur fonds propres, de 700 ordinateurs, afin de renforcer la programmation de la mise en œuvre du logiciel LOGIRAD à Kinshasa et en provinces. Cela, dans l’optique de disposer des informations en temps réel, de réduire les disparités des données et de lutter contre la fraude des recettes non fiscales.

 Heshima 

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La DGI signe un nouveau record avec 1,1 milliard USD collectés

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Comme à l’accoutumée depuis l’arrivée du directeur général des Impôts, Barnabé Muakadi Muamba, la Direction générale des Impôts (DGI) a dépassé ses assignations au mois d’avril 2024. Avec une prévision de 3.119,1 milliards de francs congolais, cette régie fiscale a collecté 3.221, 4 milliards, soit un taux de réalisation de 100,7 %.  

Le paiement de l’impôt sur les bénéfices et profits (IBP) de l’échéance fiscale d’avril dernier a permis de booster les recettes de la Direction générale des Impôts. Cette régie fiscale a signé un nouveau record dans la mobilisation des recettes publiques. Sous le leadership du directeur des Impôts, Barnabé Muakadi Muamba et l’ensemble de son personnel, la DGI continue de réaliser des performances dans le but de doter le gouvernement des moyens de sa politique. Pour l’échéance du mois d’avril, le directeur urbain des Impôts de Kinshasa, Norbert Lemvi, qui a représenté le dg Muakadi lors de la cérémonie de clôture de cette échéance, note que le message de la hiérarchie a été bien capté et que les contribuables vont devoir remplir « correctement » leurs obligations fiscales.          

« Le message a été bien reçu. En ce qui concerne d’abord l’échéance elle-même puis en ce qui concerne les autres documents qui doivent accompagner l’échéance. Nous pensons qu’avec le message qui a été diffusé par la haute direction et relayé par nous-mêmes à travers la presse, nous pensons que [les contribuables] vont devoir remplir leurs obligations correctement pour que nous puissions avoir des états financiers fiables. », a déclaré Norbert Lemvi. 

Ce dernier souligne que les déclarations fiscales des contribuables doivent être sincères. C’est dans ce cadre que le législateur a introduit, selon lui, l’obligation par les contribuables de présenter leurs états financiers certifiés. « C’est bien bon de s’acquitter d’une déclaration fiscale mais cette dernière doit être sincère. C’est dans le cadre de la sincérité que le législateur a introduit la notion de certification des états financiers pour les moyennes entreprises. Donc, nous les encourageons à se conformer à cette obligation fiscale », a-t-il ajouté. 

A la veille de l’échéance du 30 avril 2024, le chef de division de la direction des études et communication de la DGI, Jean Muteba Kasendwe, avait, lors d’une conférence de presse organisée, le 26 avril à la DGI, expliqué la situation fiscale de l’échéance du 30 avril 2023 et les mesures qui ont été prises pour le respect de l’échéance en 2024. « Lors de sa tournée à travers les structures gestionnaires, le directeur général des Impôts s’était rendu compte qu’une certaine catégorie de contribuables notamment les entreprises minières n’avaient pas effectué leur paiement notamment en ce qui concerne l’impôt sur les bénéfices et profits et l’impôt spécial sur le profit excédentaire […]. Les défaillants à cette échéance d’impôt ont été taxés d’office et c’est ce qui a fait que les suppléments d’impôts provenant de cette taxation d’office ont constitué les recettes du mois de janvier, février et mars 2024, rendant ainsi possibles les recettes réalisées par la DGI pour ce premier trimestre 2024 », a détaillé Jean Muteba Kasendwe. 

Pour cette année, rassure-t-il, des dispositions ont été prises pour le bon encadrement des contribuables et même des agents de la DGI seront déployés à travers toutes les provinces de la République démocratique du Congo afin d’éviter que certaines entreprises ne paient pas à temps leurs impôts.     

Dans sa note de conjoncture économique, la Banque Centrale du Congo a précisé que les prévisions des recettes publiques pour le mois d’avril ont été fixées à hauteur de 3.554,6 milliards de francs congolais (CDF), soit quasiment la somme mobilisée par la DGI à elle seule.

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STRATÉGIE ANTI-CORRUPTION LES RÉSULTATS POSITIFS DE L’IGF

L’inspecteur général-chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete Key, a dressé un état des lieux « sombre » de la corruption dans la déplorable gestion publique jusqu’en 2019. Les résultats obtenus à ce jour grâce à la lutte acharnée menée contre ce fléau depuis l’avènement du président Félix Tshisekedi au pouvoir sont éloquents à cet égard.

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Pour la première journée, quatre intervenants se sont succédés à la tribune pour présenter, tour à tour, l’évolution de la lutte anti-corruption en RDC. A l’ouverture, Jules Alingete Key, inspecteur général des finances-chef de service et orateur principal de la conférence a présenté les stratégies, les actions et les résultats positifs récoltés par sa structure qui, depuis l’arrivée de Félix Tshisekedi au pouvoir, ne cesse d’étonner par sa capacité à combattre les détournements des deniers publics.

« Sous la houlette du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’Inspection générale des finances a entrepris une démarche de communication sur les efforts que la République démocratique du Congo est en train de fournir depuis bientôt 3 ans pour instaurer une bonne gouvernance publique dans le pays.

L’Inspection générale des finances est ainsi à la recherche d’un nouveau narratif en ce qui concerne la RDC qui, pendant longtemps, a été indexée comme étant le lieu de prédilection de la corruption, des détournements des deniers comme des biens publics et de toutes les antivaleurs liées à la bonne gouvernance », a affirmé Jules Alingete.

Partant d’une brève présentation des multiples potentialités de la RDC, en passant par les défis de la lutte contre la corruption et une description sommaire de l’IGF, Jules Alingete a ensuite étalé les stratégies de son institution dans ses efforts d’éradication de la corruption et des détournements des avoirs de l’Etat. A cette occasion, il a aussi évoqué les actions menées ainsi que les résultats obtenus. 

Un état des lieux « sombre »

L’inspecteur général-chef de service de l’IGF a mis en avant le fait que la situation « chaotique » observée autre – fois a entrainé la baisse des ressources financières dont le pays a grandement besoin pour sa croissance. « Tout le monde courait derrière un intérêt personnel », a-t-il souligné. Aucun marché public ne pouvait être attribué sans qu’il n’y ait des faits de corruption, a rappelé Jules Alingete. Il a épinglé notamment la faible capacité de suivi des décaissements publics. « La traçabilité d’une dépense publique était à moins de 20 %. Cela signifie que 80 % des fonds publics étaient détournés », a-t-il expliqué. Jules Alingete a aussi relevé « l’indiscipline budgétaire » qui caractérisait le pays avant l’intensification de l’action de l’IGF.

Le Parlement pouvait voter un budget, après le vote, le gouvernement mettait de côté cette loi de finances et faisait « naviguer le pays à vue », a-t-il dénoncé. Il a ajouté à ce « tableau sombre » l’appropriation des biens publics par des gestionnaires ; la dilapidation des ressources des entreprises de l’Etat ; la conclusion des contrats miniers léonins qui condamneront encore longtemps la République, quand bien même certains ont été appelés à être révisés notamment le contrat sino-congolais. Tel se présentait, selon lui, l’environnement dans lequel évoluait la République démocratique du Congo avant 2019.

Actions menées par l’IGF

Dans le cadre de sa stratégie de lutte contre la corruption et toutes les antivaleurs, l’IGF a mené plusieurs actions depuis 3 ans.

 Le patron de cette institution de contrôle a cité entre autres l’audit des entreprises de l’Etat en 2021 et la mise en accusation de plusieurs mandataires publics ; le contrôle de la gestion des provinces toujours en 2021 et l’interpellation de certains gouverneurs ; la vérification de l’utilisation des fonds publics par certains membres du Gouvernement jusqu’à conduire certains d’entre eux (Santé, Education et Sports) à être déférés devant la justice.

Dans ce lot, l’examen des comptes du projet du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo, ayant englouti près de 300 millions de dollars suivi de la mise en accusation de l’ancien Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, ont été marqués par l’ampleur de leur retentissement. Dans le secteur minier, une inspection de tous les contrats miniers signés par la République démocratique du Congo a eu lieu. C’est ainsi qu’après l’évaluation du contrat minier avec les entreprises chinoises (minerais contre infrastructures), sa révision a pu aboutir. De même, l’audit de la Banque Centrale du Congo (BCC) sur le constat de la disparition des recettes des impôts payés par le secteur minier, de 2010 à 2019 a été exécuté avec rigueur.

L’IGF, sous Félix Tshisekedi, a également audité la gestion du secteur forestier et a dénoncé des ventes des forêts par des ministres. La lutte acharnée contre le détournement menée par l’IGF a conduit aussi à débusquer plusieurs tentatives de méfaits à travers le suivi du contrôle des opérations, parmi lesquelles les exonérations abusives dans le cadre de la fraude douanière, notamment au moment de l’importation des produits pétroliers ; le rapatriement des recettes d’exportation ; le blanchiment des capitaux lors d’acquisitions immobilières ; le traitement des recouvrements et des apurements des recettes des impôts ; le traitement du contentieux fiscal ; la fiscalisation de tous les partenaires et fournisseurs de l’Etat, des entreprises et établissements publics ainsi que des provinces et entités territoriales décentralisées (ETD) ; l’utilisation des dépenses publiques ; l’activation quotidienne des comptes du Trésor public ; la paie des agents publics et le nettoyage du fichier général de la paie ; l’exécution de grands marchés d’infrastructures et des routes.

Résultats obtenus

Devant un auditoire composé entre autres de professeurs congolais, du ministre belge André Flahaut, des étudiants et d’autres membres de la diaspora congolaise vivant en Europe, Jules Alingete a présenté les résultats bénéfiques des différentes actions de contrôle à l’actif de l’IGF.

On peut ainsi citer, notamment, l’augmentation sensible de la mobilisation des recettes publiques ; l’amélioration significative de la qualité de la dépense ; l’accroissement du budget de l’Etat 2021, 2022 et 2023 (passant de 5 milliards en 2019 à plus de 16 milliards de dollars en 2023) ; la restauration régulière de la bonne gouvernance publique ; l’accentuation de la trésorerie de la majorité des entreprises de l’Etat ; le retour de la peur du gendarme dans la gestion publique ; le lancement de grands travaux d’infrastructures sur base des ressources propres de l’Etat ; la relance progressive de la croissance économique ainsi que la reconquête notable de la crédibilité internationale du pays en matière de lutte contre la corruption.

En ce premier jour de sa conférence, Jules Alingete s’est appliqué à démontrer à l’assistance toutes ces avancées réalisées dans l’assainissement des finances publiques grâce à la volonté politique du président Félix-Antoine Tshisekedi. Lors de la séance de questions-réponses, un participant – après avoir écouté Jules Alingete – a pensé devoir résumer son appréciation en considérant qu’il incarnait carrément « le bilan » de l’action du président de la République au regard des efforts fournis par l’IGF pour redresser les finances du pays.

 Dido Nsapu

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Pour mieux mobiliser les recettes fiscales DGI: BARNABÉ MUAKADI DOTE SON PERSONNEL DES MATÉRIELS ROULANTS

La Direction Générale des Impôts (DGI) a agrandi son charroi automobile. Son Directeur général, Barnabé Muakadi Mwamba, a offert, en septembre dernier, un premier lot de 7 grands bus pour le transport du personnel, 26 véhicules tout terrain pour les services opérationnels et quelques services de l’administration centrale.

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Dans le but d’améliorer les conditions de t r a v a i l de ses c a d r e s et agents, le Directeur général des Impôts a pris la décision de renforcer la mobilité de son personnel. Au-delà de 7 grand bus destinés au transport du personnel et de 26 véhicules SUV dont 22 Land Cruiser, Barnabé Muakadi Mwamba avait remis aussi 334 motos qui ont été affectées au service opérationnel dans l’ensemble du territoire national pour permettre aux agents et cadres de la DGI d’être plus efficaces sur le terrain.

 A cette occasion, le Directeur général des Impôts a rappelé que ces matériels roulants ont été acquis sur fonds propre de la DGI. « Ces véhicules ont été acquis sur fonds propres, c’est ça même l’importance de bien travailler parce que quand la DGI impose, on nous rétrocède une partie de pénalités et c’est cet argent que nous avons utilisé pour acquérir ces véhicules », a déclaré Barnabé Muakadi. Cette dotation vise à permettre aux agents et cadres d’arriver à temps au service et à améliorer la mobilité pour atteindre les objectifs, notamment le recouvrement, la recherche et le recensement fiscaux. 

Devant l’assistance, Barnabé Muakadi a remis symboliquement les clés des véhicules à Denise Kasalu, Directrice de la Gestion budgétaire et Services généraux, avant de prendre place à bord d’un des bus pimpant neuf suivi par un cortège de véhicules. Ce premier lot de véhicules sera suivi par deux autres d’ici peu. La mobilisation optimale des recettes fiscales est un défi majeur pour la DGI, mais aussi pour l’économie congolaise de manière générale. L’initiative du DG de la DGI est un pas important dans l’amélioration des conditions de travail des agents de cette régie financière.

Heshima

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