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Sonas: Bonyeme Ekofo Lucien récompense le mérite de ses agents et cadres

C’est devant les membres de l’organe attitré de la Société Nationale d’Assurances, qu’est le Conseil d’Administration que s’est déroulé ce vendredi 14 mai 2021 dans la matinée, en la salle la Reine de la Paix à Kinshasa Gombe, la cérémonie de remise des brevets aux meilleurs producteurs des agences Sonas de la ville de Kinshasa.

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Cette action à féliciter, c o n s i s t e à stimuler les personnes ressources à être des apporteurs d’affaires, pour le compte de l’Assureur National afin de maximiser les recettes. Et d’après le Directeur Général de la Sonas S.A, Bonyeme Ekofo Lucien, « tout employé de la Sonas est producteur ».

Ainsi, le secteur des assurances étant libéralisé, face à cette concurrence rude, il était impérieux d’organiser cette cérémonie qui est une première dans l’histoire de la Sonas. Elle va impacter sur la vie professionnelle de ses cadres et agents afin de les rendre plus compétitifs et efficaces sur le marché des assurances, avec le seul objectif que la Sonas demeure leader des assurances en République Démocratique du Congo.

C’est en présence du Président du Conseil d’Administration, du Directeur Général Adjoint, des Administrateurs, commissaires aux comptes, cadres et agents que le Directeur Général de la Sonas a circonscrit son allocution en mettant un accent particulier sur une dame Chef d’agence à Socimat qui, au cours de l’année 2020 et malgré la pandémie du Covid-19 qui a paralysé l’économie mondiale, a pu réaliser pour le compte de son entité la somme de 584.078,41 dollars américains. Pour le Top Manager de la Sonas, cette initiative tombe à point nommé en ce terme que « les efforts des uns et des autres et loin de nous la prétention d’entretenir un esprit de concurrence déloyale à l’interne, il nous revient de constater et d’encourager les prouesses particulières des producteurs dans les agences de Kinshasa qui ont mis à la disposition de la Direction Générale, les données prises en compte pour une sélection objective des agents et cadres ayant sensiblement émergé dans l’acquisition des affaires, parmi lesquels figure le Responsable de l’Agence de Socimat, Madame BULONZA NTAMIRIRA Goretty à qui nous décernons le Prix d’excellence du Directeur Général ». Quant aux récipiendaires au nombre de cinquante-huit dont la voix a été portée par leur porte-parole de circonstance, Madame Laurence NGITA a exprimé toute la reconnaissance des lauréats pour cette manifestation : « l’organisation de la cérémonie de ce jour, pour reconnaitre nos mérites exceptionnels nous honore et démontre l’attention particulière que l’équipe dirigeante de notre société accorde aux efforts des agents et cadres dans la maximisation des ventes des différents produits que la Sonas offre sur le marché des assurances, aujourd’hui en mode concurrentiel. Et de saisir cette opportunité pour solliciter encore et toujours l’accomplissement de la Direction Générale dans la lutte acharnée à laquelle nous soumettons très souvent les compagnies concurrentes qui s’adonnent sans état d’âme au bradage des primes d’assurance, faute des tarifs uniformes comme l’a toujours dénoncé Monsieur le Directeur Général de notre Entreprise », a-t-elle déclarée.

« tout employé de la Sonas est producteur ».

Sur les 58 lauréats brevetés, nous comptons 33 hommes et 25 femmes qui prouvent à suffisance que la parité est une effectivité à la Sonas. Notons que la remise de brevets aux meilleurs producteurs au sein des agences de la ville de Kinshasa est la résultante de la signature des contrats de performance entre le Directeur Général et les Directeurs de Région intervenue au mois de Février de l’année en cours.

Service de communication/ Sonas

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Avec 366 milliards de FC mobilisés en juin, JEAN LUCIEN BONYEME REMET LA DGRAD SUR ORBITE

Nommé en mai 2023, le nouveau directeur général de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations (DGRAD), Jean Lucien Bonyeme Ekofo, donne déjà de ses nouvelles. Lui et son comité ont mobilisé près de 366 milliards de francs congolais en juin dernier. Ce qui relance la performance de cette régie financière dans la mobilisation accrue des recettes non fiscales.

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Le président de la République, Félix Tshisekedi, a procédé au réaménagement du comité de direction de la DGRAD. Par l’ordonnance présidentielle n°23/065 du 22 mai 2023, Jean Lucien Bonyeme Ekofo a été nommé directeur général de cette régie financière. Par la même ordonnance, le chef de l’Etat a renouvelé sa confiance aux deux directeurs généraux adjoints de cette régie à savoir, Monsieur Doudou Fwamba Likunde-Li-Botay et Madame Christine Epoluke Bombula en tant que directeurs généraux adjoints chargés respectivement des questions techniques pour l’un et de l’administration et des finances pour l’autre.

 Après trois mois de gestion, Jean Lucien Bonyeme, ancien patron de la Société nationale d’assurances (SONAS), donne déjà des signaux positifs. Au premier trimestre 2023, avant sa venue, la DGRAD n’avait réalisé que 17% de ses assignations budgétaires. Une contre-performance qui ne dit pas son nom, alors que la régie financière contribue, depuis plus de dix ans, à concurrence de 30% du budget de l’État. Il y avait risque que cette situation affecte les assignations budgétaires annuelles de l’entreprise, si rien n’était fait. C’est ainsi que lors de la cérémonie de remise et reprise  avec le comité sortant, Jean Lucien Bonyeme Ekofo avait pris l’engagement de relever l’important défi de concrétiser les réformes entamées par le comité de gestion sortant dirigé par Jean Parfait Ntabala Mundikhire.

 Sur ce point, le nouveau dg compte s’assurer que la numérisation et la tenue à jour des différentes comptabilités permettent au gouvernement de la République, aux différents services d’assiette et à la DGRAD de disposer d’un tableau de bord renseignant sur le niveau des recettes en attente d’être liquidées, celui des recettes en instance d’être ordonnancées, ainsi que celui des recettes effectivement recouvrées par les banques et le solde à recouvrer.

Bonyeme Ekofo, un passé dans les finances publiques 

Né le 19 août 1962 à Kinshasa, en République démocratique du Congo, Jean Lucien Bonyeme Ekofo étale un parcours élogieux dans la gestion des affaires publiques. Détenteur d’un Master en sciences politiques et administratives de l’Université de Kinshasa (UNIKIN), le nouveau directeur général de la DGRAD détient aussi une grande expérience professionnelle.

 Cela fait suite à plusieurs formations notamment en gestion d’audit opérationnel sur les assurances et en audit juridique au centre CAPER de Casablanca (au Maroc) et de Paris (en France) ainsi qu’en gestion des entreprises en période de changement, toujours à Paris. Méticuleux dans la gestion des ressources humaines, financières et matérielles, le DG Bonyeme a accumulé une expérience de plus de 30 ans passés essentiellement dans le secteur des assurances au sein de la SONAS. Ses qualités intellectuelles et morales lui ont permis de gravir les échelons allant de chef de section, en 1987, au poste de Directeur général de la SONAS, en 2019. Tout au long de son mandat à la tête de la SONAS SA, il a fait preuve d’un modèle de gestion inédit, apprécié aussi bien par les cadres et agents, que par le gouvernement de la République.

La DGRAD se remet sur pied… 

Sous le signe d’un fulgurant départ à l’actif du nouveau mandataire, témoignage on ne peut plus éloquent de son adresse managériale, la DGRAD vient d’accroître ses recettes en récoltant 366 milliards de francs congolais de ses assignations pour le seul mois de juin 2023. Cette montée en puissance, fruit du leadership du patron de cette régie en synergie avec ses deux adjoints, la propulse pour la première fois devant la Direction générale des impôts (DGI). 

Une performance qui restera marquée dans les annales. Plusieurs éléments ont concouru au succès récolté dans la mobilisation des recettes non fiscales en juin 2023. Entre autres, la rigueur au travail, la poursuite du processus de digitalisation et numérisation de la chaine de recettes au travers les logiciels LOGIRAD et ISIS REGIE. La même tendance a continué d’être observée en juillet et août 2023 grâce à la mise en place d’une judicieuse organisation des opérations de paiement des frais de dépôt des dossiers des candidatures à la députation nationale et provinciale, à la célérité dans le traitement des dossiers et à la bonne gestion des ressources humaines.

Des motos pour la mobilité des agents

Il serait hasardeux de vouloir demander un bilan au directeur général après seulement deux mois de gestion. Cela équivaut au temps d’observation et de prise de marque pour non seulement connaître les institutions, mais aussi les hommes. Néanmoins, ce moment d’analyse n’est nullement un temps mort pendant lequel le Directeur général n’agirait pas. Au contraire, il l’a mis à profit pour jeter les bases de l’édifice et apporter du tonus à la mobilisation des ressources au profit du Trésor public.

En gestionnaire aguerri, Jean Lucien Bonyeme Ekofo est conscient de la mission lui assignée par le gouvernement, grâce à « une gestion axée sur les résultats (G.A.RE.) ». Il a également su prendre la mesure que pour arriver à cette fin, il doit valoriser le capital humain en améliorant les conditions de travail des cadres et agents de la DGRAD. Pour cette raison, il vient de doter la régie de 200 motos acquises sur fonds propres en suivant scrupuleusement la procédure de passation des marchés publics. L’objectif principal poursuivi par le directeur général est de rendre aisée la mobilité des ordonnateurs affectés dans les ressorts et centres d’ordonnancement éloignés et inaccessibles en véhicule. Il a matérialisé cela par la décision n°083/DGRAD/ DG/2023 du 24 juillet 2023 portant affectation et attribution des motos aux directions provinciales de la DGRAD et a émis le vœu de voir les bénéficiaires en faire bon usage afin de collaborer efficacement à la mobilisation des recettes non fiscales au profit du Trésor public.

Acquisition de 700 ordinateurs

Cette mobilisation accrue des recettes non fiscales, qui est le crédo du Directeur général de la DGRAD, implique une mise en place d’un arsenal de prérequis adéquats devant garantir aux cadres et agents d’effectuer un excellent travail. En manager avisé, soucieux du bon fonctionnement de ses services, le directeur général de la DGRAD, vient également d’équiper la régie, toujours sur fonds propres, de 700 ordinateurs, afin de renforcer la programmation de la mise en œuvre du logiciel LOGIRAD à Kinshasa et en provinces. Cela, dans l’optique de disposer des informations en temps réel, de réduire les disparités des données et de lutter contre la fraude des recettes non fiscales.

 Heshima 

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Eustache Muhanzi pose les bases légales

Soucieux de renforcer un cadre juridique propice à l’éclosion de l’entrepreunariat congolais, le Ministre de tutelle a en priorité doté son secteur d’un cadre légal et normatif qui n’existait pas. Deux avant-projets de Loi portant respectivement promotion de l’entrepreneuriat et acteurs du secteur étaient présentés et adoptés en Commissions gouvernementales et au Conseil des Ministres avant d’être transmis au Parlement.

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Depuis le 8 septembre 2022, le Président de la République a promulgué l’Ordonnance-loi 22/030 sur l’entrepreneuriat et des startups ainsi que l’Ordonnance-loi 22/031 portant promotion de l’artisanat. Cet arsénal de lois sur l’entrepreneuriat et startups constitue un cadre juridique capable de booster le secteur privé, vecteur de création  d’emplois, générateur des richesses et nivellement de la croissance économique en RDC. Cette loi a pour objectif de fixer les règles relatives à la création, à l’exercice, à la promotion et au développement des PME sur toute l’étendue du territoire national. Dans cette loi, il est notamment stipulé que les pouvoirs publics veillent à la promotion des partenariats publics-privés, en vue d’œuvrer à l’émergence d’une classe moyenne d’entrepreneurs et des startups, dans les conditions prévues par les législations spécifiques y afférentes. 

Elle définit la PME comme étant toute unité économique dont la propriété revient à une ou plusieurs personnes physiques ou morales et qui présente les caractéristiques différentes à savoir le nombre d’emplois permanents fixé de 1 à 200 personnes, la valeur des investissements nécessaires mis en place pour les activités de l’entreprise (inferieure ou égale à l’équivalent en FC de 600.000 dollars américains et le mode de gestion ouvert à la décentralisation). Ce texte classe les PME en trois catégories dénommées micro entreprises (ou très petite entreprise), petite entreprise et moyenne entreprise.

 Cette loi détermine les critères définissant une micro entreprise, à savoir un effectif de 1 à 5 employés, le chiffre d’affaires équivalent en Franc congolais à 10 mille dollars américains et la tenue d’une comptabilité selon le système comptable en vigueur en RDC. En ce qui concerne la petite entreprise, plusieurs critères la caractérise, notamment un effectif de 6 à 50 employés, le chiffre d’affaires équivalent en franc congolais entre 10 mille et 60 mille dollars américains et la tenue d’une comptabilité selon le système en vigueur en RDC.

S’agissant de la moyenne entreprise, l’ordonnance-loi cite ses critères : un effectif de 51 à 200 employés, un chiffre d’affaires équivalent en Franc congolais 60 mille à 600 mille dollars américains, la tenue d’une comptabilité selon le système comptable en vigueur en RDC, le mode de gestion ouvert à la décentralisation et l’investissement net inférieur ou égal à l’équivalent de 350 mille dollars américains.

 L’ordonnance-loi décrit la startup comme étant toute entreprise innovante nouvellement créée, n’ayant pas plus de sept années d’activités et qui est dotée d’un très fort potentiel de croissance économique et qui, précise l’ordonnance-loi, a besoin d’importants fonds en investissement pour la réalisation de son activité et la duplication de son modèle commercial.

 L’article 6 de ce texte de loi détermine les six conditions exigées à toute entreprise pour être qualifiée de startup. C’est d’être créée et enregistrée en RDC, avoir une existence juridique inférieure ou égale à 7 ans à compter de la date d’enregistrement, un effectif de travailleurs inférieur à 50 personnes, un total bilan et un chiffre d’affaires annuel inférieur à l’équivalent d’un milliard de FC ; avoir au moins deux tiers du capital social détenu par des personnes physiques de nationalité congolaise ; avoir un modèle économique qui comporte une forte dimension innovante et créative, notamment dans le domaine technologique ou de nouvelles technologies de l’information et de la communication et entreprendre une activité qui présente un fort potentiel de croissance.

Promotion de l’artisanat…

En dehors de cette loi sur l’entrepreneuriat et startups, l’ordonnance- loi portant promotion de l’artisanat, quant à elle, fixe le cadre juridique et institutionnel de l’exercice de l’artisanat en République démocratique du Congo par les artisans nationaux et étrangers en vue de l’encadrement, la protection et la promotion de leurs activités. Elle s’applique à tous les artisans et à toutes entreprises artisanales qui exercent leurs activités sur le territoire national et à toute les parties prenantes qui interviennent, à quelque titre que ce soit, dans le secteur de l’artisanat.

 Heshima

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Un homme discret et efficace !

Discret, peu connu du grand public, et cela en partie volontairement. Il se pourrait qu’il soit temps de savoir finalement qui est Eustache Muhanzi Mubembe, celui-là même à qui le Président de la République a fait confiance en lui accordant la gestion du portefeuille des Ressources Hydrauliques et Électricité dans le premier Gouvernement de l’alternance pacifique puis le portefeuille de l’Entrepreneuriat, Petites et Moyennes entreprises dans l’actuel gouvernement Sama Lukonde.

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Effacé à dessein, croyant plus aux œuvres qu’aux discours, père d’une famille croyante et chrétienne, l’homme fait la cinquantaine révolue – 55 ans exactement. Ancien du Petit Séminaire de Katudwe Cibimbi à Nyangezi et du très célèbre collège Alfajiri des Pères Jésuites de Bukavu, il y entreprit et y acheva ses études secondaires en Chimie-Biologie. La suite de son parcours démontre à quel point l’homme était et est aussi curieux que studieux, aussi insatisfait que friand de connaissance. En effet, ayant successivement fréquenté l’Université de Kinshasa, l’Université Protestante du Congo essentiellement, Monsieur Mubembe a fait des études de Pharmacie, puis de Droit et même de Développement, dans lesquelles il justifie tous ses diplômes universitaires conséquents.

Tour à tour, Chef de Département Médico-Pharmaceutique de la Police Nationale puis Directeur Général du Fonds de Promotion Culturelle, celui qui se définit parfois comme un « homme hautement culturel » a également été Conseiller dans quelques Cabinets politiques au niveau national. Proche collaborateur de celui que d’aucuns appellent « Mwalimu », Vital Kamerhe, Eustache est l’un des piliers et pionniers de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), qui lui est chère.

Il en a été successivement, dès sa création, le Secrétaire Politique National Adjoint chargé de l’Organisation, pour devenir, au plus fort des enjeux, Coordonnateur de la Cellule Nationale des Élections. Sa touche personnelle s’y est vite fait remarquer. Comment en aurait-il d’ailleurs été autrement quand on connait la méticulosité, le volontarisme et l’amour du travail bien fait qui sont quelques traits dominants de sa personnalité.

Exploits à la tête de l’EPME

Par rapport à ce qu’il a accompli, Eustache Muhanzi demeure depuis trois ans l’un des membres du gouvernement de la République les plus actifs. Le 27 avril 2021, lorsqu’il procédait à la remise grandes réformes. Il avait indiqué que son action serait axée sur cinq objectifs principaux, à savoir mettre en œuvre le Programme national de développement de l’Entrepreneuriat au Congo pour promouvoir l’émergence des classes moyennes congolaises, doter le pays d’un cadre légal et réglementaire sur l’entrepreneuriat, l’artisanat et les startups…

 Depuis, le travail qu’il abat avec les structures dépendant de sa tutelle, parmi lesquelles l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP), le Projet d’appui au développement  i c r o s , petites et moyennes entreprises (PDMPME), le Fonds de garantie pour l’entrepreneuriat au Congo (FOGEC), et l’Agence nationale pour le développement des entreprises du Congo (ANADEC), ne passe pas inaperçu. Il a réalisé une kyrielle d’actions notamment le programme de l’implémentation des incubateurs des PME et des startups lancé dans 17 provinces, l’obtention des financements pour plus d’une centaine de PME…

Des empreintes indélébiles à l’Energie

Le ministre d’Etat Eustache Muhanzi n’est pas à sa première expérience. A l’instar de l’EPME, il avait déjà marqué d’une empreinte indélébile le ministère des Ressources Hydrauliques, portefeuille qu’il avait occupé au sein du premier gouvernement de l’alternance politique pacifique. En 2020, alors que la pandémie à Coronavirus sévissait, il avait veillé sur la stricte application de toutes les mesures ou décisions prises par le chef de l’Etat relative à la pandémie de coronavirus, consistant à desservir la population en eau potable et en électricité gratuitement pendant deux mois.

 Il avait contribué dans l’amélioration de la production et de la distribution d’eau potable, dans le cadre du projet d’alimentation d’eau en milieu urbain (PEMU), financés par la Banque mondiale en partenariat avec la société chinoise WTC. Sous sa férule, la construction de deux nouvelles usines de production d’eau potable était lancée dans le but de résorber le déficit, à savoir l’usine de Lemba Imbu et celle de Binza-Ozone. D’une capacité de production finale de 220 000 m3/jour, l’usine de Lemba Imbu a été inaugurée le 23 août 2022. Quant à celle de Binza-Ozone, qui produira au finish 300 000 m3/jour, les travaux continuent. 

Concernant la libéralisation du secteur de l’électricité, il est le premier ministre qui avait facilité la mise en œuvre de l’Autorité de régulation du secteur de l’électricité et de l’Agence nationale de l’électrification et des services énergétiques en milieux rural et périurbain (ANSER), deux établissements créés dans le cadre de la libéralisation du secteur de l’électricité, dont le travail est aujourd’hui remarquable sur le terrain. 

En février 2020, le ministre d’Etat Muhanzi avait été parmi les signataires d’un protocole d’accord entre le gouvernement congolais et General Electric, dans lequel la société américaine s’était engagée à investir plus d’un milliard de dollars en RDC, particulièrement dans les barrages d’Inga. Aussi avaitil présenté le 08 février 2021, avec le concours de l’Agence Nationale de la Promotion des Investissements (ANAPI), un recueil des textes légaux et réglementaires de mise en œuvre des activités du secteur de l’électricité… 

 Heshima

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