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Sport: Lionel Messi, le pari de Paris en mal ?

Lionel Messi et QSI, c’est l’histoire d’un éternel rendez-vous raté qu’on avait fini par enterrer. Depuis 2011 et l’arrivée des Qataris à la tête du PSG, Messi nourrissait les fantasmes autant que les espoirs d’un club aux ressources financières sans fond.

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C’était finalement dans la logique des choses : le joueur le plus précieux du monde dans le club le plus riche de la planète (avec Manchester City tout de même). A intervalles réguliers, la rumeur bruissait sans jamais vraiment prendre de l’épaisseur. Messi était un moyen pour le PSG de rappeler que ses ambitions étaient sans limite et Paris, un moyen pour Messi de négocier à la hausse ses contrats avec le FC Barcelone.

Au tout début de l’histoire, lors de la première conférence de presse qui officialise la prise de pouvoir de QSI en 2011, Robin Leproux, alors président du PSG, répond «Lionel Messi» à la question de savoir quel joueur le PSG rêve de recruter.

Les noms de Kaka et Samuel Eto’o circulent. Pour Messi, c’est encore beaucoup trop tôt. Le Qatar n’est qu’au début de l’histoire et l’Argentin est déjà le meilleur joueur du monde. Il devient un objectif à très long terme. Dans l’immédiat, avant de le séduire, Paris part à la conquête du «nouveau Messi».

Du « nouveau Messi » au soft power du Dream bigger

Et la première star du mercato QSI est un Argentin de 21 ans, meneur de jeu. Javier Pastore ne sera pas le nouveau Messi mais il enclenche une dynamique. Avec lui, Paris s’affirme sur le marché des transferts. Mais la vraie bascule s’opère en 2013. Sérieux outsider sur le marché des transferts, le PSG n’atteint pas encore le standing de ses voisins européens. Il n’est pas pris au sérieux jusqu’à la double arrivée de Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva en 2012, rejoint  très vite par David Beckham. Paris bascule alors dans une autre dimension économique et sportive. Dès lors, tout peut arriver. Paris avait les moyens financiers de convaincre l’Argentin, il a désormais un challenge sportif et une équipe ambitieuse à lui proposer.

Dès 2013, dans certains cercles proches de Doha, on travaille sur l’hypothèse Messi. Ses ennuis avec le fisc espagnol (ndlr : il est alors accusé de fraude fiscale) ouvrent une première brèche mais sa clause à 250 millions d’euros, sans tenir compte des envies de l’Argentin, est dissuasive. «Si nous n’avions pas de limite, nous ferions venir Messi», se justifie Nasser Al-Khelaifi dans les colonnes de l’Equipe en 2014. «Si vous avez l’argent pour le faire venir, amenez-le nous.» En vérité, la vraie difficulté du dossier reste de convaincre l’Argentin. Paris est à l’affût. Messi et Cristiano Ronaldo sont désormais des objectifs à court et moyen terme.

Paris n’a pas de limites, le FPF s’en occupe

Le PSG construit une fusée à plusieurs étages mais Messi reste le fantasme ultime. Ce qu’il faut comprendre, au-delà des évidents bénéfices sportifs, c’est que l’arrivée de l’Argentin est avant tout un moyen d’associer l’image du meilleur joueur du monde (et de l’histoire ?) à celle du Qatar. Une stratégie de soft power, résumée dans un slogan répété depuis dix ans : «Dream bigger». Or, qui de plus grand que Messi ? Personne. Avec lui, Paris et le Qatar seraient au centre du monde. Voilà pourquoi Messi est resté la quête ultime d’un club et d’un Etat qui ne se sont jamais mis de limites.

L’UEFA va s’en charger pour eux avec le fair-play financier. A partir 2015, il frappe durement et l’ogreparisien se sait menacé. Voilà pourquoi, en 2015 justement, Paris, qui a, jusque-là, simplement tâter le terrain avant de se heurter à la complexité de la situation, dégaine une première fois pour tenter de convaincre le Barça et Messi. Le départ programmé de Zlatan Ibrahimovic à l’été 2016 doit être comblé. Il faut une nouvelle tête d’affiche. Mais c’est le FPF, autant que les envies de Messi toujours tournées vers le Barça, qui rendent l’affaire impossible.

Paris n’oublie pas Messi pour autant mais va devoir se montrer patient. Barcelone ne subira pas deux fois le même affront sur le marché des transferts et le PSG sait qu’il lui faudra attendre la fin du contrat de l’Argentin en 2021. A l’été 2020, pour la première fois de sa carrière, la Pulga a des envies d’ailleurs. Paris dégaine une seconde fois, pas question de laisser passer l’occasion. Les échanges entre le clan Messi et Paris sont, cette fois, très concrets. Le Ballon d’Or préfère City mais le Barça met les barbelés.

2021 : contexte idéal

Il aura donc fallu attendre les dix ans du projet parisien pour que l’impensable se produise. Au terme d’une quête frénétique tour à-tour illusoire, désespérée, interminable et finalement fructueuse. La gestion calamiteuse du FC Barcelone, l’effacement du fairplay financier, la crise du Covid qui a affaibli la concurrence (et le Barça) : il a fallu le contexte parfait pour signer le transfert du siècle. En 2011, Paris et QSI rêvaient de Ligue des champions et de Lionel Messi. Dix ans plus tard, le 10 août 2021, la moitié du chemin est parcouru. Et celui vers la C1 n’a jamais semblé aussi dégagé.

Messi dans de sales draps

C’était irrespectueux. Lionel Messi était dans de sales draps après son geste derrière le mur du PSG. La Pulga était bien décidé de mettre les bouchées doubles pour son équipe. Le Paris-Saint Germain a réussi haut la main son pari contre Manchester City (2-0). Lors de ce choc de Ligue des champions, Leo Messi a afin marqué un goal. Mais un autre geste de la star est venu gâcher l’ambiance.

On jouait donc les trois dernières minutes du temps réglementaire quand un coup franc est sifflé à l’entrée de la surface de Donnarumma. Le PSG mène alors 2-0 et est en passe de prendre sa revanche sur la demi-finale perdue la saison dernière. Après plusieurs secondes d’atermoiement, Neymar et Wijnaldum indiquant notamment de se placer ailleurs (et debout), le buteur du soir reçoit finalement pour consigne du capitaine Marquinhos de s’allonger sous le mur pour éviter une frappe au sol. Le sextuple Ballon d’Or s’exécute, le tout sous le regard un brin interloqué de Neymar et Ander Herrera.

Si, visiblement, aucun joueur n’a vécu cette scène comme affront, il n’en reste que chacun doit donner de sa personne. Quelques secondes plus tard, c’est Kylian Mbappé qui s’est mis à l’horizontale sur un coup franc adverse… à la demande de Neymar, qui semble avoir voulu épargner Messi. Reste une question : le Brésilien sera-t-il le Brésilien le prochain à se « sacrifier » lors d’une situation similaire.

 Raymond Befonda

International

Télécoms la bataille des prix bousculent les opérateurs en Afrique

En République démocratique du Congo, les prix des télécoms explosent depuis plusieurs mois. La tendance n’est pas aussi moins observable dans le continent. Petit tour d’horizons du comportement de certaines firmes en Afrique.

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A Kinshasa, capitale de la RD Congo, des Congolais se plaignent du coût des mégabits d’internet qui ne cesse de prendre de l’ascenseur. Parti à 1800 francs congolais en 2021, le pris d’un gigabit coûte aujourd’hui 2700 francs au bas mot. Et 3000 francs congolais dans d’autres coins de la République. Cette surenchère n’est observable qu’en République démocratique du Congo. D’autres pays comme la Côte d’Ivoire en sont victimes. En avril 2023, les opérations des Télécoms sont passés au crible dans les réseaux sociaux.

La mise en application d’un nouveau prix plancher de 0,8 Francs CFA par Mégabits d’internet est à la base de ces critiques. Pour certains observateurs, cette tendance à vouloir hausser le prix est liée au fait que les opérateurs veulent plus de bénéfices face à des revenus qui stagnent. « Les opérateurs veulent répercuter la hausse de leurs charges sur les forfaits », note un média français. 

 Dans ce contexte, l’idée d’augmenter les tarifs des forfaits fait son chemin. La concurrence entre Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free a tiré les prix vers le bas, loin des standards de la plupart des grands pays européens. Là où une offre Internet, télévision et téléphonie fixe de base peut coûter 22 euros par mois en France, les offres comparables coûtent de l’ordre de 35 euros au Royaume-Uni, 45 euros en Allemagne et jusqu’à 108 euros aux Etats-Unis, d’après la FFT. La dynamique est la même sur les forfaits mobiles, rapporte la source.

Des Télécoms qui passent de main…

 Mai 2021, le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, et son administration jubilent. La première partie du processus de privatisation du marché des télécommunications vient de se clore avec l’attribution d’une première licence d’opérateur mobile, concédée pour 800 millions de dollars (662 millions d’euros à l’époque), à un consortium mené par le groupe kényan Safaricom (filiale de Vodacom). Au moins temporairement, nombre d’observateurs y voient la réalisation d’un point d’équilibre, les principaux acteurs s’étant finalement répartis de manière satisfaisante toutes les parts du gâteau en Afrique 

Repositionnement… 

 Dans ce vaste mercato des télécoms, les géants du secteur paraissent in fine plus discrets que leurs challengers. Ils n’en demeurent pas moins à l’affût du moindre mouvement stratégique. Bien que concentré sur la croissance organique de ses différentes plateformes, MTN n’a pas hésité à se positionner, mi-juillet, comme candidat à une prise de contrôle de Telkom en Afrique du Sud. Ce dernier, troisième opérateur du pays, revendique 400 000 foyers connectés à ses offres d’internet fixe et a également reçu une proposition de fusion avec le fournisseur de réseau 4G et 5G Rain. Tandis que l’investisseur sud-africain Toto Investment Holdings a proposé en août 432 millions de dollars pour la reprise des parts que le gouvernement détient dans Telkom, MTN a finalement abandonné les négociations le 19 octobre.

 Heshima

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International

Condamnation de l’agression rwandaise en RDC : Voici pourquoi Macron hésite…

Acculé par la presse congolaise, le 4 mars, pour son absence de condamnation claire du Rwanda dans son agression contre la République démocratique du Congo, le président français a eu la langue lourde pour le faire. Il y a bien des raisons à cette habitude. Heshima en évoque certaines…

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Depuis la résurgence du Mouvement du 23 mars (M23), la France est à la traine pour condamner ces rebelles qui bénéficient d’un soutien clair de la part du Rwanda. Paris était parmi les derniers à condamner ce mouvement sans toutefois nommer ses parrains dont notamment le président rwandais, Paul Kagame.     

Le président français a, au cours de la conférence de presse tenue samedi 4 mars 2023, en marge de sa tournée africaine qui l’a conduite en RDC, esquivé de condamner le Rwanda dans cette agression contre la RDC via le M23. Emmanuel Macron a même tenté de le justifier en estimant qu’au sein du M23 – qui bénéficie du soutien des puissances étrangères – ily a aussi des Congolais. Acculé par la presse locale, il finira par le faire de façon moins audible. « J’ai été très clair sur la condamnation du M23 et tous ceux qui le soutiennent, y compris le Rwanda. Donc, je ne peux pas être plus clair que ça », a déclaré le président français à l’insistante question de la presse congolaise au Palais de la Nation, le 4 mars. 

Sur ce sujet, Emmanuel Macron a toujours eu la langue lourde. Et c’est pour deux raisons majeures. Premièrement, la France a eu un passé sombre dans l’histoire du génocide rwandais de 1994. Kigali accusait sans cesse la France d’avoir participé dans le génocide qui a fait 800 mille morts au Rwanda dont en majorité des Tutsi. Paul Kagame faisait chanter Paris sur ce sujet. Et Emmanuel Macron a tourné la page de l’histoire, en 2021, en réparant avec le Rwanda.  

Dans un discours prononcé, fin mai 2021, au Mémorial du génocide de Kigali, où reposent les restes de 250 000 des plus de 800 000 victimes, le président français a reconnu les« responsabilités » de la France dans le génocide de 1994 et a demandé pardon. La France « n’a pas été complice », mais elle a fait « trop longtemps prévaloir le silence sur l’examen de la vérité », avait-il déclaré, en ajoutant que « seuls ceux qui ont traversé la nuit peuvent peut-être pardonner, nous faire le don de nous pardonner ».

Selon Macron,  « la France a un rôle, une histoire et une responsabilité politique au Rwanda ». Paris est resté « de fait aux côtés d’un régime génocidaire » mais « n’a pas été complice », avait-il expliqué au Mémorial de Kigali, vingt-sept ans après le génocide de 1994. Devant une telle réparation avec l’histoire rwandaise, Emmanuel Macron ne veut plus se brouiller avec le Rwanda, et Paul Kagame le sait. « Kagame se croit tout permis car Macron a déjà cédé plusieurs fois à ses caprices. Sans une pression internationale forte exercée sur le Rwanda, la déstabilisation de l’Est de la République démocratique du Congo continuera ! », a écrit le 3 mars 2023, l’eurodéputé Thierry Mariani.  

La deuxième raison majeure, c’est que la France sous-traite l’armée rwandaise pour la protection de ses intérêts économiques au Mozambique. Le Conseil de l’Union européenne – avec le soutien pressant de la France – a octroyé un montant supplémentaire de 20 millions d’euros au Rwanda destinés à l’aide à la poursuite du déploiement des troupes rwandaises au Mozambique. Une décision qui avait suscité la colère du prix Nobel de la paix Denis Mukwege. 

Le célèbre gynécologue congolais s’était dit scandalisé « d’apprendre que l’UE débloque 20 millions € pour les RDF, une armée à la base de l’agression de la RDC, d’une crise humanitaire dramatique et auteure de graves violations des Droits de l’Homme et du Droit International Humanitaire ».

Même des ONG des droits de l’homme étaient abasourdies de ce soutien de l’Europe à une armée qui venait de participer aux massacres d’au moins 131 civils congolais dans les villages  de Kishishe et Bambo, dans le territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, selon l’enquête du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’Homme (BCNUDH). « En finançant l’armée rwandaise, l’UE (comme les États Unis et d’autres pays avant elle) cautionne, voire soutient indirectement le conflit armé dans l’Est de la RDC, qui a des conséquences humanitaires et de droits humains absolument dramatiques. Scandaleux. Immoral. Insensé », avait, pour sa part, déclaré Jean-Mobert Senga d’Amnesty international. 

Dido Nsapu

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International

21ème sommet de la CEEAC : Tshisekedi préside une session centrée sur la sécurité

La République démocratique du Congo qui, depuis un temps a signé son retour dans plusieurs organisations régionales, organise, du 25 au 27 juillet 2022, la XXIème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC). Un sommet qui rentre dans la thématique sécuritaire de l’heure.

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Le Président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi préside, ce lundi à Kinshasa, la 21èmesession ordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de cette communauté régionale. Trois chefs d’Etat sont attendus ainsi que des chefs de délégations des pays membres. Le chef d’Etat du Tchad, Mahamat Idriss Déby est déjà à Kinshasa depuis le 24 juillet. Contrairement à sa dénomination qui veut qu’elle soit éminemment économique, la CEEAC va tabler sur la sécurité à Kinshasa. Un thème qui tombe à point nommé au regard de l’agression dont la République démocratique du Congo est victime de la part du Rwanda sous couvert du M23, selon le gouvernement congolais. Des accusations que Kigali dément toujours.  

Ces assises ont été précédées par la réunion des chefs d’Etats-majors généraux, commandants en chef, directeurs généraux de police, gendarmerie, Hauts fonctionnaires des ministères de la région, Hauts cadres du secteur de la sécurité et les ministres du Comité Technique Spécialisé Défense, Sureté et Sécurité, Conseil de Paix et de Sécurité de l’Afrique Centrale, afin de statuer sur les questions sécuritaires majeures et deformuler les propositions aux chefs d’Etat et de gouvernement. Ces responsables de la sécurité vont présenter aux chefs d’Etat les résultats de leurs travaux, notamment sur l’examen de la situation politique et sécuritaire en Afrique centrale. 

Ces autorités militaires vont également soumettre les conclusions du rapport sur l’arrimage des textes de la Force Multinationale de l’Afrique Centrale (FOMAC) et de la structure de l’Etat-major (EMR) au Traité révisé et autres textes légaux révisés (protocole relatif au COPAX, cadre organique de la Commission et statut du personnel). Il y a aussi l’examen du projet d’organigramme de l’Etat-major régional complémentaire au cadre organique approuvé par la réforme institutionnelle de la CEEAC. 

Agressée par un pays membre 

En prélude de la tenue du sommet de ce 25 juillet, à Kinshasa,le ministre congolais de l’Intégration régionale et Francophonie, Didier Mazenga Mukanzu, a présidé, le 22 juillet 2022, un Conseil des ministres de cette organisation sous régionale. Dans son discours, le ministre a mis l’accent sur la solidarité et la paix, des facteurs nécessaires au développement de toute région. Didier Mazenga a salué le leadership du président en exercice de la CEEAC, Félix-Antoine Tshisekedi, qui a accepté de convoquer le sommet ordinaire dans la capitale congolaise.

Mais cet officiel congolais n’a pas loupé la question de l’heure : l’agression de la RDC par un pays voisin, sous couvert d’une rébellion. Sur ce point, le ministre Didier Mazenga a rappelé que cette 21ème session de la communauté régionale se tient dans « un environnement sécuritaire préoccupant, principalement en République Démocratique du Congo, qui subit malheureusement l’agression d’un pays membre » de la communauté. Une allusion à l’agression rwandaise contre la RD. Congo sous couvert des « terroristes » du Mouvement du 23 mars (M23).     

Centrafrique au menu 

Les participants à cette XXIème session ordinaire évoqueront également la question du respect des processus électoraux. Concernant la RCA, ils vont tabler sur l’appui de la région au processus de Démobilisation, désarmement, réinsertion et rapatriement dans ce pays.

Ce sommet connait la participation de la Centrafrique, de Sao Tomé (et Principe) et du Tchad. Ces trois pays pourraient être représentés par leurs Présidents tandis que le Burundi et la Guinée Équatoriale sont représentés par leurs vice-présidents, le Congo et le Gabon par les Premiers ministres, l’Angola par son ministre des Affaires étrangères et, enfin, le Rwanda par son ambassadeur en RDC, Vincent Karega.

Pour rappel, le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi, avait pris officiellement les commandes de cette organisation régionale en janvier 2019, à Brazzaville. La passation du pouvoir entre lui et le président sortant, Denis Sasou N’guesso, a eu lieu à Kintele, en République du Congo, où s’étaient tenus les travaux de la 20ème session de la conférence des chefs d’État et de gouvernement de cette communauté régionale.

Heshima 

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