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ASSURANCE : BONYEME EKOFO LUCIEN pour le maintien du leadership de la Sonas dans le secteur des assurances en République Démocratique du Congo

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L’équipe dirigeante de la SONAS s.a, sous la conduite de son Directeur Général, Monsieur BONYEME EKOFO Lucien, a réalisé plusieurs actions palpables au courant de cette année, mais à titre indicatif nous épinglerons trois au cours de l’exercice 2021.

Il s’agit de la rencontre avec les responsables des Directions de Région au cours de laquelle il a été procédé à la signature des contrats de performance entre la Direction Générale et les précités ; de la cérémonie de remise des brevets aux meilleurs producteurs des Agences de la Ville-Province de KINSHASA ainsi que de la remise officielle du robot intelligent dans la ville de Bukavu, Province du Sud-Kivu.

DE LA SIGNATURE DES CONTRATS DE PERFORMANCE

Point n’est besoin de souligner que l’environnement assuranciel de la République Démocratique du Congo a changé de physionomie à la suite de l’ouverture du marché des assurances matérialisée par la libéralisation du secteur à d’autres opérateurs nationaux et étrangers.

Face à cette réalité irréversible, la Direction Générale ne s’emploie-t-elle pas à initier des actions susceptibles de permettre à l’Assureur national qui évolue dans ce secteur depuis plusieurs décennies, de maintenir son élan faisant de lui toujours, leader des assurances en République Démocratique du Congo.

Il va sans dire que les Directeurs de Région ont eu, à leur tour, la mission de signer des contrats de performance avec les animateurs des agences essaimées à travers le territoire national, chacun dans son rayon d’action bien déterminé. Il sied de préciser que la SONAS s.a comprend 6 Directions de Région réparties de la manière suivante : La Direction de Région KINSHASA OUEST – exEquateur ; la Direction de Région KINSHASA ESTex-Bandundu ; la Direction de Région Sud (Haut – Katanga, Lualaba, Haut – Lomami, Tanganyika, Kasai, Kasai Oriental, Kasai Central, Sankuru) avec siège à Lubumbashi ; la Direction de Région Est (Maniema, Nord et Sud-KIVU) avec siège à Goma ; la Direction de Région ouest (Kongo-central) avec siège à Matadi ; la Direction de Région Nord-Ouest (Tshopo, Ituri, Haut-Uélé, Bas-Uélé) avec siège à KISANGANI.

 L’objectif poursuivi consiste à demander aux intervenants dans le réseau commercial de rentabiliser davantage la vente des produits de la SONAS s.a qui a depuis longtemps privilégié les assurances de proximité pour une meilleure prise en charge de sa clientèle devant son besoin permanent : sa sécurité et celle de son patrimoine.

DE LA REMISE DES BREVETS7

C’est une cérémonie quasi consécutive à la première évoquée précédemment puisqu’elle a été consacrée à récompenser les agents et cadres qui ont excellé dans la conquête et l’acquisition des affaires au sein des Agences de la Ville-Province de KINSHASA. La Direction Générale a eu à épingler singulièrement l’exploit du responsable de l’Agence de SOCIMAT ayant émergé dans la réalisation des affaires à qui a été décerné le prix d’excellence du Directeur Général.

La sanction positive de ces meilleurs producteurs au sein des Agences des deux Directions de Région de Kinshasa devant se poursuivre dans les quatre autres Directions de Région du Pays concrétise la vision managériale de l’équipe dirigeante qui focalise la gestion sur le résultat étant  donné que la SONAS s.a a cessé d’être une Entreprise Publique pour basculer dans le statut de Société Commerciale.

DE LA REMISE OFFICIELLE DU ROBOT INTELLIGENT À BUKAVU

La Sonas sa représentée par le Responsable de la Direction de Région Est a, au cours d’une cérémonie organisée à cet effet, procédé à la remise officielle à l’Autorité Provinciale du Sud-Kivu du robot intelligent installé à la place « Feux Rouges » pour une régulation automatique de la circulation routière dans la ville de Bukavu.

En effet, cette action a revêtu un caractère primordial dans le domaine des assurances dès lors qu’elle concrétise l’objet social de la Sonas sa qui a vocation de replacer l’assuré dans sa position initiale d’avant l’accident.

Il s’est produit effectivement un accident de circulation en date du 10 septembre 2020 provoqué par un véhicule couvert en assurance automobile au moment des faits, ayant causé un profond dommage matériel au robot intelligent. La responsabilité civile du propriétaire du véhicule assuré ayant été établie dans cet accident, la Sonas sa s’est employée à honorer ses engagements contractuels dont les effets étaient perçus par tous, à travers la remise en marche de ce robot.

Tenez ! Pour une prime d’assurance ad hoc payée s’élevant à 134 usd, le propriétaire s’est vu protégé par la Sonas sa qui a eu à décaisser après le règlement du dossier, tous frais inclus, la somme considérable de 28.451usd sans tergiverser, autant le paiement ponctuel et correct des sinistres constitue l’un des axes prioritaires du plan d’action de l’équipe dirigeante de la Sonas sa, autant il apparaît comme la forme de publicité la plus évidente d’une Compagnie d’assurances crédible.

 Ainsi, un vibrant appel est-il lancé aux uns et aux autres, détenteurs des risques potentiels (matériel roulant, patrimoine immobilier, chantiers en gestion, etc…) d’envisager leur couverture en assurance par la Sonas sa à travers le vaste réseau de distribution de ses produits disséminé sur le territoire national.

  Service de Communication /SONAS s.a

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La DGI signe un nouveau record avec 1,1 milliard USD collectés

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Comme à l’accoutumée depuis l’arrivée du directeur général des Impôts, Barnabé Muakadi Muamba, la Direction générale des Impôts (DGI) a dépassé ses assignations au mois d’avril 2024. Avec une prévision de 3.119,1 milliards de francs congolais, cette régie fiscale a collecté 3.221, 4 milliards, soit un taux de réalisation de 100,7 %.  

Le paiement de l’impôt sur les bénéfices et profits (IBP) de l’échéance fiscale d’avril dernier a permis de booster les recettes de la Direction générale des Impôts. Cette régie fiscale a signé un nouveau record dans la mobilisation des recettes publiques. Sous le leadership du directeur des Impôts, Barnabé Muakadi Muamba et l’ensemble de son personnel, la DGI continue de réaliser des performances dans le but de doter le gouvernement des moyens de sa politique. Pour l’échéance du mois d’avril, le directeur urbain des Impôts de Kinshasa, Norbert Lemvi, qui a représenté le dg Muakadi lors de la cérémonie de clôture de cette échéance, note que le message de la hiérarchie a été bien capté et que les contribuables vont devoir remplir « correctement » leurs obligations fiscales.          

« Le message a été bien reçu. En ce qui concerne d’abord l’échéance elle-même puis en ce qui concerne les autres documents qui doivent accompagner l’échéance. Nous pensons qu’avec le message qui a été diffusé par la haute direction et relayé par nous-mêmes à travers la presse, nous pensons que [les contribuables] vont devoir remplir leurs obligations correctement pour que nous puissions avoir des états financiers fiables. », a déclaré Norbert Lemvi. 

Ce dernier souligne que les déclarations fiscales des contribuables doivent être sincères. C’est dans ce cadre que le législateur a introduit, selon lui, l’obligation par les contribuables de présenter leurs états financiers certifiés. « C’est bien bon de s’acquitter d’une déclaration fiscale mais cette dernière doit être sincère. C’est dans le cadre de la sincérité que le législateur a introduit la notion de certification des états financiers pour les moyennes entreprises. Donc, nous les encourageons à se conformer à cette obligation fiscale », a-t-il ajouté. 

A la veille de l’échéance du 30 avril 2024, le chef de division de la direction des études et communication de la DGI, Jean Muteba Kasendwe, avait, lors d’une conférence de presse organisée, le 26 avril à la DGI, expliqué la situation fiscale de l’échéance du 30 avril 2023 et les mesures qui ont été prises pour le respect de l’échéance en 2024. « Lors de sa tournée à travers les structures gestionnaires, le directeur général des Impôts s’était rendu compte qu’une certaine catégorie de contribuables notamment les entreprises minières n’avaient pas effectué leur paiement notamment en ce qui concerne l’impôt sur les bénéfices et profits et l’impôt spécial sur le profit excédentaire […]. Les défaillants à cette échéance d’impôt ont été taxés d’office et c’est ce qui a fait que les suppléments d’impôts provenant de cette taxation d’office ont constitué les recettes du mois de janvier, février et mars 2024, rendant ainsi possibles les recettes réalisées par la DGI pour ce premier trimestre 2024 », a détaillé Jean Muteba Kasendwe. 

Pour cette année, rassure-t-il, des dispositions ont été prises pour le bon encadrement des contribuables et même des agents de la DGI seront déployés à travers toutes les provinces de la République démocratique du Congo afin d’éviter que certaines entreprises ne paient pas à temps leurs impôts.     

Dans sa note de conjoncture économique, la Banque Centrale du Congo a précisé que les prévisions des recettes publiques pour le mois d’avril ont été fixées à hauteur de 3.554,6 milliards de francs congolais (CDF), soit quasiment la somme mobilisée par la DGI à elle seule.

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STRATÉGIE ANTI-CORRUPTION LES RÉSULTATS POSITIFS DE L’IGF

L’inspecteur général-chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete Key, a dressé un état des lieux « sombre » de la corruption dans la déplorable gestion publique jusqu’en 2019. Les résultats obtenus à ce jour grâce à la lutte acharnée menée contre ce fléau depuis l’avènement du président Félix Tshisekedi au pouvoir sont éloquents à cet égard.

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Pour la première journée, quatre intervenants se sont succédés à la tribune pour présenter, tour à tour, l’évolution de la lutte anti-corruption en RDC. A l’ouverture, Jules Alingete Key, inspecteur général des finances-chef de service et orateur principal de la conférence a présenté les stratégies, les actions et les résultats positifs récoltés par sa structure qui, depuis l’arrivée de Félix Tshisekedi au pouvoir, ne cesse d’étonner par sa capacité à combattre les détournements des deniers publics.

« Sous la houlette du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’Inspection générale des finances a entrepris une démarche de communication sur les efforts que la République démocratique du Congo est en train de fournir depuis bientôt 3 ans pour instaurer une bonne gouvernance publique dans le pays.

L’Inspection générale des finances est ainsi à la recherche d’un nouveau narratif en ce qui concerne la RDC qui, pendant longtemps, a été indexée comme étant le lieu de prédilection de la corruption, des détournements des deniers comme des biens publics et de toutes les antivaleurs liées à la bonne gouvernance », a affirmé Jules Alingete.

Partant d’une brève présentation des multiples potentialités de la RDC, en passant par les défis de la lutte contre la corruption et une description sommaire de l’IGF, Jules Alingete a ensuite étalé les stratégies de son institution dans ses efforts d’éradication de la corruption et des détournements des avoirs de l’Etat. A cette occasion, il a aussi évoqué les actions menées ainsi que les résultats obtenus. 

Un état des lieux « sombre »

L’inspecteur général-chef de service de l’IGF a mis en avant le fait que la situation « chaotique » observée autre – fois a entrainé la baisse des ressources financières dont le pays a grandement besoin pour sa croissance. « Tout le monde courait derrière un intérêt personnel », a-t-il souligné. Aucun marché public ne pouvait être attribué sans qu’il n’y ait des faits de corruption, a rappelé Jules Alingete. Il a épinglé notamment la faible capacité de suivi des décaissements publics. « La traçabilité d’une dépense publique était à moins de 20 %. Cela signifie que 80 % des fonds publics étaient détournés », a-t-il expliqué. Jules Alingete a aussi relevé « l’indiscipline budgétaire » qui caractérisait le pays avant l’intensification de l’action de l’IGF.

Le Parlement pouvait voter un budget, après le vote, le gouvernement mettait de côté cette loi de finances et faisait « naviguer le pays à vue », a-t-il dénoncé. Il a ajouté à ce « tableau sombre » l’appropriation des biens publics par des gestionnaires ; la dilapidation des ressources des entreprises de l’Etat ; la conclusion des contrats miniers léonins qui condamneront encore longtemps la République, quand bien même certains ont été appelés à être révisés notamment le contrat sino-congolais. Tel se présentait, selon lui, l’environnement dans lequel évoluait la République démocratique du Congo avant 2019.

Actions menées par l’IGF

Dans le cadre de sa stratégie de lutte contre la corruption et toutes les antivaleurs, l’IGF a mené plusieurs actions depuis 3 ans.

 Le patron de cette institution de contrôle a cité entre autres l’audit des entreprises de l’Etat en 2021 et la mise en accusation de plusieurs mandataires publics ; le contrôle de la gestion des provinces toujours en 2021 et l’interpellation de certains gouverneurs ; la vérification de l’utilisation des fonds publics par certains membres du Gouvernement jusqu’à conduire certains d’entre eux (Santé, Education et Sports) à être déférés devant la justice.

Dans ce lot, l’examen des comptes du projet du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo, ayant englouti près de 300 millions de dollars suivi de la mise en accusation de l’ancien Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, ont été marqués par l’ampleur de leur retentissement. Dans le secteur minier, une inspection de tous les contrats miniers signés par la République démocratique du Congo a eu lieu. C’est ainsi qu’après l’évaluation du contrat minier avec les entreprises chinoises (minerais contre infrastructures), sa révision a pu aboutir. De même, l’audit de la Banque Centrale du Congo (BCC) sur le constat de la disparition des recettes des impôts payés par le secteur minier, de 2010 à 2019 a été exécuté avec rigueur.

L’IGF, sous Félix Tshisekedi, a également audité la gestion du secteur forestier et a dénoncé des ventes des forêts par des ministres. La lutte acharnée contre le détournement menée par l’IGF a conduit aussi à débusquer plusieurs tentatives de méfaits à travers le suivi du contrôle des opérations, parmi lesquelles les exonérations abusives dans le cadre de la fraude douanière, notamment au moment de l’importation des produits pétroliers ; le rapatriement des recettes d’exportation ; le blanchiment des capitaux lors d’acquisitions immobilières ; le traitement des recouvrements et des apurements des recettes des impôts ; le traitement du contentieux fiscal ; la fiscalisation de tous les partenaires et fournisseurs de l’Etat, des entreprises et établissements publics ainsi que des provinces et entités territoriales décentralisées (ETD) ; l’utilisation des dépenses publiques ; l’activation quotidienne des comptes du Trésor public ; la paie des agents publics et le nettoyage du fichier général de la paie ; l’exécution de grands marchés d’infrastructures et des routes.

Résultats obtenus

Devant un auditoire composé entre autres de professeurs congolais, du ministre belge André Flahaut, des étudiants et d’autres membres de la diaspora congolaise vivant en Europe, Jules Alingete a présenté les résultats bénéfiques des différentes actions de contrôle à l’actif de l’IGF.

On peut ainsi citer, notamment, l’augmentation sensible de la mobilisation des recettes publiques ; l’amélioration significative de la qualité de la dépense ; l’accroissement du budget de l’Etat 2021, 2022 et 2023 (passant de 5 milliards en 2019 à plus de 16 milliards de dollars en 2023) ; la restauration régulière de la bonne gouvernance publique ; l’accentuation de la trésorerie de la majorité des entreprises de l’Etat ; le retour de la peur du gendarme dans la gestion publique ; le lancement de grands travaux d’infrastructures sur base des ressources propres de l’Etat ; la relance progressive de la croissance économique ainsi que la reconquête notable de la crédibilité internationale du pays en matière de lutte contre la corruption.

En ce premier jour de sa conférence, Jules Alingete s’est appliqué à démontrer à l’assistance toutes ces avancées réalisées dans l’assainissement des finances publiques grâce à la volonté politique du président Félix-Antoine Tshisekedi. Lors de la séance de questions-réponses, un participant – après avoir écouté Jules Alingete – a pensé devoir résumer son appréciation en considérant qu’il incarnait carrément « le bilan » de l’action du président de la République au regard des efforts fournis par l’IGF pour redresser les finances du pays.

 Dido Nsapu

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Pour mieux mobiliser les recettes fiscales DGI: BARNABÉ MUAKADI DOTE SON PERSONNEL DES MATÉRIELS ROULANTS

La Direction Générale des Impôts (DGI) a agrandi son charroi automobile. Son Directeur général, Barnabé Muakadi Mwamba, a offert, en septembre dernier, un premier lot de 7 grands bus pour le transport du personnel, 26 véhicules tout terrain pour les services opérationnels et quelques services de l’administration centrale.

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Dans le but d’améliorer les conditions de t r a v a i l de ses c a d r e s et agents, le Directeur général des Impôts a pris la décision de renforcer la mobilité de son personnel. Au-delà de 7 grand bus destinés au transport du personnel et de 26 véhicules SUV dont 22 Land Cruiser, Barnabé Muakadi Mwamba avait remis aussi 334 motos qui ont été affectées au service opérationnel dans l’ensemble du territoire national pour permettre aux agents et cadres de la DGI d’être plus efficaces sur le terrain.

 A cette occasion, le Directeur général des Impôts a rappelé que ces matériels roulants ont été acquis sur fonds propre de la DGI. « Ces véhicules ont été acquis sur fonds propres, c’est ça même l’importance de bien travailler parce que quand la DGI impose, on nous rétrocède une partie de pénalités et c’est cet argent que nous avons utilisé pour acquérir ces véhicules », a déclaré Barnabé Muakadi. Cette dotation vise à permettre aux agents et cadres d’arriver à temps au service et à améliorer la mobilité pour atteindre les objectifs, notamment le recouvrement, la recherche et le recensement fiscaux. 

Devant l’assistance, Barnabé Muakadi a remis symboliquement les clés des véhicules à Denise Kasalu, Directrice de la Gestion budgétaire et Services généraux, avant de prendre place à bord d’un des bus pimpant neuf suivi par un cortège de véhicules. Ce premier lot de véhicules sera suivi par deux autres d’ici peu. La mobilisation optimale des recettes fiscales est un défi majeur pour la DGI, mais aussi pour l’économie congolaise de manière générale. L’initiative du DG de la DGI est un pas important dans l’amélioration des conditions de travail des agents de cette régie financière.

Heshima

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