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48 ans de l’OCC le DG Gaby Lubiba honore 537 agents et cadres de l’entreprise

Le directeur général de l’Office Congolais de Contrôle (OCC) a décidé de marquer d’une pierre blanche le 48ème anniversaire de cet établissement public. A l’occasion de cette célébration, ce nouveau responsable a réuni, le 1er février 2022, plusieurs personnalités et pionniers de l’OCC afin de les honorer pour des services rendus à cet office.

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Of f i c i e l l e m e n t créé le 10 janvier 1974, l’Office Congolais de Contrôle a célébré le 48ème anniversaire de son existence, le 1er février 2022, à son siège de la Gombe. Une commémoration particulière organisée devant de centaines d’agents et cadres, en présence du ministre du Commerce extérieur, Jean-Lucien Bussa, autorité de tutelle. 

 Devant un parterre d’invités et cadres, le DG ai Gaby Lubiba Mampuya a succinctement brossé le tableau de la marche de cette entreprise depuis sa création en 1974 et ses animateurs. Avant de procéder, avec la Chancellerie des Ordres nationaux, à la décoration de 537 cadres et agents en médailles d’or et des brevets de mérite civique. Le patron de l’OCC a rappelé à l’assistance que cette cérémonie intervient après un atelier de 6 jours (tenu du 24 au 29 janvier) organisé à la N’sele, avec les têtes pensantes de l’Office Congolais de Contrôle et les consultants extérieurs afin de réfléchir sur des reformes structurelle et organisationnelle de l’OCC.

537 agents et cadres honorés

 Le DG ai Gaby Lubiba a, au cours de la même circonstance, fait savoir que 537 agents et cadres qualifiés ont constitué le premier contingent décoré par le Chancelier des Ordres nationaux. Le deuxième recevra ses brevets et médailles dès la semaine prochaine. Parmi des cadres honorés, l’on retrouve des doyens et pionniers de l’OCC. Il s’agit notamment de Tshiswaka Mpiana, engagé depuis 1974 ; Mazedi Nkilango, engagé à la même date ; et Marie-Claire Nzeza Ngonda, premier Directeur féminin, retraitée après 30 ans de service. Il y a également, les ADG venus du monde extérieur et ayant marqué l’entreprise de leur empreinte managériale, comme le sénateur José Endundo, Albert Kasongo Mukonzo, Levi Fundu, décédé à la clôture d’un atelier sur les réformes structurelle et organisationnelle de l’OCC.

Il y a eu aussi les ADG fils maison, Adrien Venant Domai Makuth, Vicky Kanama Mbuya, Maurice Mbayo Muhiya, Gaby Lubiba Mampuya et Romain Lobo Ntekesha. Puis, Gaby Lubiba a reconnu le mérite des personnalités ayant accompli 30 ans de service à l’OCC et élevées à des hautes responsabilités au service de la nation. Il y a notamment l’actuel ministre des Transports et Voies de communication, Chérubin Okende ; le gouverneur du Sud Ubangi, Jean-Claude Mabenze, le députe national, Floribert Konzi. A cet effet, certains partenaires de l’OCC ont été aussi honorés. Il s’agit du DG de Bivac, Pierre Olivier Gobert, DG de CGW, Ritchie Callaghan et ADG délégué de la Fédération des entreprises du Congo (FEC), Jean Justin Kimona Bononge.

Hommage au ministre Bussa

Par ailleurs, l’occasion a été accordée au Directeur général ai de rendre un hommage  particulier au ministre du Commerce extérieur, Jean-Lucien Bussa Tongba, autorité de tutelle de l’OCC depuis mai 2017. Il est donc signataire des Contrats de Performance avec l’Office depuis près de cinq ans sans discontinuité. Gaby Lubiba s’est dit reconnaissant du leadership avec lequel il exerce sa tutelle sur le fonctionnement de l’OCC en vue de le porter toujours plus haut, de conduire le bateau vers des eaux paisibles et permettre à cet établissement public des sentiers bâtis.

Appel aux agents !

En s’adressant aux agents de l’OCC, Gaby Lubiba a, dans ses recommandations, convié les agents à se fixer des objectifs ambitieux, sans devoir s’arrêter en chemin avant de les atteindre. Pour ce faire, le patron de l’OCC a utilisé une métaphore sportive pour galvaniser ses agents. « Agissez comme s’il était impossible d’échouer.

Ainsi, nous invitons tous les cadres et agents à construire un lendemain meilleur pour l’OCC dans cet état d’esprit, à réaliser avec compétence non seulement des multiples essais de laboratoires, mais aussi à marquer comme au rugby des essais abondants sur tous les fronts d’activités.

 Nous vous demandons, aussi, à l’exemple des rugbymen, de ne pas vous contenter de marquer des essais, mais de les transformer par de justes coups de pieds pour gagner encore plus de points et hisser davantage le score de l’Office Congolais de Contrôle dans toutes ses sphères d’activité. Telle est notre façon symbolique de vous exhorter à une appropriation individuelle des actes de Safari Beach par tous, pour la transformation profonde, sinon, la refondation indispensable de l’OCC à 48 ans d’âge et à l’aube de ses 50 ans », a-t-il motivé dans son discours.

Retour sur les travaux de Safari Beach

Bien avant la cérémonie de commémoration de 48 ans de l’OCC, cette entreprise l’a fait précéder d’un atelier de réflexion sur son avenir. A l’issue des travaux tenus à Safari Beach, dans la périphérie Est de Kinshasa, l’OCC s’est doté, sous forme d’une Feuille de route réformatrice, d’un ambitieux plan stratégique bâti autour des axes suivants : la mise en place d’un système de bonne gouvernance à toutes les échelles et d’un système de surveillance stratégique ; le renforcement des capacités financières, gage de la pérennité des prestations ; le développement des compétences à la hauteur des missions et ambitions de l’Office ; la réorganisation complète des activités, tant opérationnelles que supports pour une efficacité et une performance accrues ; le renforcement de la reconnaissance internationale de la compétence technique ainsi que de l’organisation managériale par la voie respectivement de l’Accréditation et de la Certification ; l’amélioration continue de l’image institutionnelle, par la réduction systématique du gap entre l’image objective ou l’identité réelle de l’Office et son image perçue, son image déposée auprès des parties prenantes et parties intéressées.

Ainsi, les objectifs spécifiques de l’Atelier de la réforme organisationnelle et structurelle de l’Office Congolais de Contrôle tenu à Safari Beach ont produit de précieux actes décisionnels, avec la participation des consultants de haute qualité invités au niveau national et régional, capables de porter un regard neutre et indépendant sur le système de l’entreprise OCC.

Face au constat dégagé par des participants à l’atelier, les cadres et agents réunis à Safari Beach ont recommandé ce qui suit pour la gestion actualisée de l’OCC : la Promotion de la bonne gouvernance et notamment de l’éthique dans toutes les sphères opérationnelles et supports d’activités ; Initiation sans délai de l’audit organisationnel et structurel, pour la refonte en douceur de l’organisation, la conquête d’une efficacité, d’une efficience et d’une performance visiblement accrues, sanctionnées par l’extension des accréditations et, le cas échéant, des certifications ciblées ; Développement planifié des compétences à la lumière des enjeux, des défis présents et futurs aux niveaux tant de l’économie nationale, régionale et internationale ; Engagement accéléré de l’Office dans la numérisation intégrale de ses opérations, précédée par l’audit complet de son système d’information ; Définition des conditions idoines pour consolider les capacités financières de l’Office, sans porter atteinte à son rôle économique et social ; Refonte et renforcement de l’image ainsi que de la réputation de l’OCC comme acteur crédible de choix en matière d’évaluation de la conformité sur le plan national, régional et international et enfin l’Affermissement nécessaire du cadre juridique et des référentiels d’activités.

Entrés en fonction le 16 juillet 2021, le Directeur général a.i, Gaby Lubiba Mampuya et son adjoint, Romain Lobo Ntekesha Wa Tshibuabua, ont particulièrement marqué la célébration de ces 48 ans d’existence de l’OCC. Leur présence à la tête de cet établissement public a permis, en un laps de temps, de réaliser un examen approfondi des problèmes de l’OCC mais aussi à honorer ceux qui ont mérité depuis la création de cette entreprise. Des gestes historiques !

 Raymond Befonda

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La DGI signe un nouveau record avec 1,1 milliard USD collectés

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Comme à l’accoutumée depuis l’arrivée du directeur général des Impôts, Barnabé Muakadi Muamba, la Direction générale des Impôts (DGI) a dépassé ses assignations au mois d’avril 2024. Avec une prévision de 3.119,1 milliards de francs congolais, cette régie fiscale a collecté 3.221, 4 milliards, soit un taux de réalisation de 100,7 %.  

Le paiement de l’impôt sur les bénéfices et profits (IBP) de l’échéance fiscale d’avril dernier a permis de booster les recettes de la Direction générale des Impôts. Cette régie fiscale a signé un nouveau record dans la mobilisation des recettes publiques. Sous le leadership du directeur des Impôts, Barnabé Muakadi Muamba et l’ensemble de son personnel, la DGI continue de réaliser des performances dans le but de doter le gouvernement des moyens de sa politique. Pour l’échéance du mois d’avril, le directeur urbain des Impôts de Kinshasa, Norbert Lemvi, qui a représenté le dg Muakadi lors de la cérémonie de clôture de cette échéance, note que le message de la hiérarchie a été bien capté et que les contribuables vont devoir remplir « correctement » leurs obligations fiscales.          

« Le message a été bien reçu. En ce qui concerne d’abord l’échéance elle-même puis en ce qui concerne les autres documents qui doivent accompagner l’échéance. Nous pensons qu’avec le message qui a été diffusé par la haute direction et relayé par nous-mêmes à travers la presse, nous pensons que [les contribuables] vont devoir remplir leurs obligations correctement pour que nous puissions avoir des états financiers fiables. », a déclaré Norbert Lemvi. 

Ce dernier souligne que les déclarations fiscales des contribuables doivent être sincères. C’est dans ce cadre que le législateur a introduit, selon lui, l’obligation par les contribuables de présenter leurs états financiers certifiés. « C’est bien bon de s’acquitter d’une déclaration fiscale mais cette dernière doit être sincère. C’est dans le cadre de la sincérité que le législateur a introduit la notion de certification des états financiers pour les moyennes entreprises. Donc, nous les encourageons à se conformer à cette obligation fiscale », a-t-il ajouté. 

A la veille de l’échéance du 30 avril 2024, le chef de division de la direction des études et communication de la DGI, Jean Muteba Kasendwe, avait, lors d’une conférence de presse organisée, le 26 avril à la DGI, expliqué la situation fiscale de l’échéance du 30 avril 2023 et les mesures qui ont été prises pour le respect de l’échéance en 2024. « Lors de sa tournée à travers les structures gestionnaires, le directeur général des Impôts s’était rendu compte qu’une certaine catégorie de contribuables notamment les entreprises minières n’avaient pas effectué leur paiement notamment en ce qui concerne l’impôt sur les bénéfices et profits et l’impôt spécial sur le profit excédentaire […]. Les défaillants à cette échéance d’impôt ont été taxés d’office et c’est ce qui a fait que les suppléments d’impôts provenant de cette taxation d’office ont constitué les recettes du mois de janvier, février et mars 2024, rendant ainsi possibles les recettes réalisées par la DGI pour ce premier trimestre 2024 », a détaillé Jean Muteba Kasendwe. 

Pour cette année, rassure-t-il, des dispositions ont été prises pour le bon encadrement des contribuables et même des agents de la DGI seront déployés à travers toutes les provinces de la République démocratique du Congo afin d’éviter que certaines entreprises ne paient pas à temps leurs impôts.     

Dans sa note de conjoncture économique, la Banque Centrale du Congo a précisé que les prévisions des recettes publiques pour le mois d’avril ont été fixées à hauteur de 3.554,6 milliards de francs congolais (CDF), soit quasiment la somme mobilisée par la DGI à elle seule.

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STRATÉGIE ANTI-CORRUPTION LES RÉSULTATS POSITIFS DE L’IGF

L’inspecteur général-chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete Key, a dressé un état des lieux « sombre » de la corruption dans la déplorable gestion publique jusqu’en 2019. Les résultats obtenus à ce jour grâce à la lutte acharnée menée contre ce fléau depuis l’avènement du président Félix Tshisekedi au pouvoir sont éloquents à cet égard.

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Pour la première journée, quatre intervenants se sont succédés à la tribune pour présenter, tour à tour, l’évolution de la lutte anti-corruption en RDC. A l’ouverture, Jules Alingete Key, inspecteur général des finances-chef de service et orateur principal de la conférence a présenté les stratégies, les actions et les résultats positifs récoltés par sa structure qui, depuis l’arrivée de Félix Tshisekedi au pouvoir, ne cesse d’étonner par sa capacité à combattre les détournements des deniers publics.

« Sous la houlette du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’Inspection générale des finances a entrepris une démarche de communication sur les efforts que la République démocratique du Congo est en train de fournir depuis bientôt 3 ans pour instaurer une bonne gouvernance publique dans le pays.

L’Inspection générale des finances est ainsi à la recherche d’un nouveau narratif en ce qui concerne la RDC qui, pendant longtemps, a été indexée comme étant le lieu de prédilection de la corruption, des détournements des deniers comme des biens publics et de toutes les antivaleurs liées à la bonne gouvernance », a affirmé Jules Alingete.

Partant d’une brève présentation des multiples potentialités de la RDC, en passant par les défis de la lutte contre la corruption et une description sommaire de l’IGF, Jules Alingete a ensuite étalé les stratégies de son institution dans ses efforts d’éradication de la corruption et des détournements des avoirs de l’Etat. A cette occasion, il a aussi évoqué les actions menées ainsi que les résultats obtenus. 

Un état des lieux « sombre »

L’inspecteur général-chef de service de l’IGF a mis en avant le fait que la situation « chaotique » observée autre – fois a entrainé la baisse des ressources financières dont le pays a grandement besoin pour sa croissance. « Tout le monde courait derrière un intérêt personnel », a-t-il souligné. Aucun marché public ne pouvait être attribué sans qu’il n’y ait des faits de corruption, a rappelé Jules Alingete. Il a épinglé notamment la faible capacité de suivi des décaissements publics. « La traçabilité d’une dépense publique était à moins de 20 %. Cela signifie que 80 % des fonds publics étaient détournés », a-t-il expliqué. Jules Alingete a aussi relevé « l’indiscipline budgétaire » qui caractérisait le pays avant l’intensification de l’action de l’IGF.

Le Parlement pouvait voter un budget, après le vote, le gouvernement mettait de côté cette loi de finances et faisait « naviguer le pays à vue », a-t-il dénoncé. Il a ajouté à ce « tableau sombre » l’appropriation des biens publics par des gestionnaires ; la dilapidation des ressources des entreprises de l’Etat ; la conclusion des contrats miniers léonins qui condamneront encore longtemps la République, quand bien même certains ont été appelés à être révisés notamment le contrat sino-congolais. Tel se présentait, selon lui, l’environnement dans lequel évoluait la République démocratique du Congo avant 2019.

Actions menées par l’IGF

Dans le cadre de sa stratégie de lutte contre la corruption et toutes les antivaleurs, l’IGF a mené plusieurs actions depuis 3 ans.

 Le patron de cette institution de contrôle a cité entre autres l’audit des entreprises de l’Etat en 2021 et la mise en accusation de plusieurs mandataires publics ; le contrôle de la gestion des provinces toujours en 2021 et l’interpellation de certains gouverneurs ; la vérification de l’utilisation des fonds publics par certains membres du Gouvernement jusqu’à conduire certains d’entre eux (Santé, Education et Sports) à être déférés devant la justice.

Dans ce lot, l’examen des comptes du projet du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo, ayant englouti près de 300 millions de dollars suivi de la mise en accusation de l’ancien Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, ont été marqués par l’ampleur de leur retentissement. Dans le secteur minier, une inspection de tous les contrats miniers signés par la République démocratique du Congo a eu lieu. C’est ainsi qu’après l’évaluation du contrat minier avec les entreprises chinoises (minerais contre infrastructures), sa révision a pu aboutir. De même, l’audit de la Banque Centrale du Congo (BCC) sur le constat de la disparition des recettes des impôts payés par le secteur minier, de 2010 à 2019 a été exécuté avec rigueur.

L’IGF, sous Félix Tshisekedi, a également audité la gestion du secteur forestier et a dénoncé des ventes des forêts par des ministres. La lutte acharnée contre le détournement menée par l’IGF a conduit aussi à débusquer plusieurs tentatives de méfaits à travers le suivi du contrôle des opérations, parmi lesquelles les exonérations abusives dans le cadre de la fraude douanière, notamment au moment de l’importation des produits pétroliers ; le rapatriement des recettes d’exportation ; le blanchiment des capitaux lors d’acquisitions immobilières ; le traitement des recouvrements et des apurements des recettes des impôts ; le traitement du contentieux fiscal ; la fiscalisation de tous les partenaires et fournisseurs de l’Etat, des entreprises et établissements publics ainsi que des provinces et entités territoriales décentralisées (ETD) ; l’utilisation des dépenses publiques ; l’activation quotidienne des comptes du Trésor public ; la paie des agents publics et le nettoyage du fichier général de la paie ; l’exécution de grands marchés d’infrastructures et des routes.

Résultats obtenus

Devant un auditoire composé entre autres de professeurs congolais, du ministre belge André Flahaut, des étudiants et d’autres membres de la diaspora congolaise vivant en Europe, Jules Alingete a présenté les résultats bénéfiques des différentes actions de contrôle à l’actif de l’IGF.

On peut ainsi citer, notamment, l’augmentation sensible de la mobilisation des recettes publiques ; l’amélioration significative de la qualité de la dépense ; l’accroissement du budget de l’Etat 2021, 2022 et 2023 (passant de 5 milliards en 2019 à plus de 16 milliards de dollars en 2023) ; la restauration régulière de la bonne gouvernance publique ; l’accentuation de la trésorerie de la majorité des entreprises de l’Etat ; le retour de la peur du gendarme dans la gestion publique ; le lancement de grands travaux d’infrastructures sur base des ressources propres de l’Etat ; la relance progressive de la croissance économique ainsi que la reconquête notable de la crédibilité internationale du pays en matière de lutte contre la corruption.

En ce premier jour de sa conférence, Jules Alingete s’est appliqué à démontrer à l’assistance toutes ces avancées réalisées dans l’assainissement des finances publiques grâce à la volonté politique du président Félix-Antoine Tshisekedi. Lors de la séance de questions-réponses, un participant – après avoir écouté Jules Alingete – a pensé devoir résumer son appréciation en considérant qu’il incarnait carrément « le bilan » de l’action du président de la République au regard des efforts fournis par l’IGF pour redresser les finances du pays.

 Dido Nsapu

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Pour mieux mobiliser les recettes fiscales DGI: BARNABÉ MUAKADI DOTE SON PERSONNEL DES MATÉRIELS ROULANTS

La Direction Générale des Impôts (DGI) a agrandi son charroi automobile. Son Directeur général, Barnabé Muakadi Mwamba, a offert, en septembre dernier, un premier lot de 7 grands bus pour le transport du personnel, 26 véhicules tout terrain pour les services opérationnels et quelques services de l’administration centrale.

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Dans le but d’améliorer les conditions de t r a v a i l de ses c a d r e s et agents, le Directeur général des Impôts a pris la décision de renforcer la mobilité de son personnel. Au-delà de 7 grand bus destinés au transport du personnel et de 26 véhicules SUV dont 22 Land Cruiser, Barnabé Muakadi Mwamba avait remis aussi 334 motos qui ont été affectées au service opérationnel dans l’ensemble du territoire national pour permettre aux agents et cadres de la DGI d’être plus efficaces sur le terrain.

 A cette occasion, le Directeur général des Impôts a rappelé que ces matériels roulants ont été acquis sur fonds propre de la DGI. « Ces véhicules ont été acquis sur fonds propres, c’est ça même l’importance de bien travailler parce que quand la DGI impose, on nous rétrocède une partie de pénalités et c’est cet argent que nous avons utilisé pour acquérir ces véhicules », a déclaré Barnabé Muakadi. Cette dotation vise à permettre aux agents et cadres d’arriver à temps au service et à améliorer la mobilité pour atteindre les objectifs, notamment le recouvrement, la recherche et le recensement fiscaux. 

Devant l’assistance, Barnabé Muakadi a remis symboliquement les clés des véhicules à Denise Kasalu, Directrice de la Gestion budgétaire et Services généraux, avant de prendre place à bord d’un des bus pimpant neuf suivi par un cortège de véhicules. Ce premier lot de véhicules sera suivi par deux autres d’ici peu. La mobilisation optimale des recettes fiscales est un défi majeur pour la DGI, mais aussi pour l’économie congolaise de manière générale. L’initiative du DG de la DGI est un pas important dans l’amélioration des conditions de travail des agents de cette régie financière.

Heshima

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